Chers Amis Journalistes,
L’élection présidentielle d’octobre 2020 polarise l’attention de toute la Côte d’Ivoire, des amis de notre pays, des acteurs et observateurs de la scène politique nationale et internationale.
En effet, le Président Alassane Ouattara, Président de la République, est à son deuxième et dernier mandat. Il l’a lui-même signifié à plusieurs reprises.
Par exemple, le 5 janvier 2017, à l’occasion de ses 75 ans, le Président de la République avait fait cette annonce solennelle en ces termes : « A l’occasion de mes 75 ans ceci m’amène à réaffirmer que les institutions de la République qui seront mises en place très prochainement me permettront de prendre congé en 2020».
En ce qui concerne le Président Henri Konan Bédié, Président du PDCI-RDA, fort de son soutien à l’élection du Président Alassane Ouattara en 2010 et à sa réélection en 2015, il veut voir un militant actif de son parti candidat de la coalition. Le Président Henri Konan Bédié va même plus loin en bloquant ses écrits : « Le PDCI-RDA aura son candidat en 2020 ».
Cependant, selon le Président Alassane Ouattara, qui n’aurait rien promis au Président Bédié et très favorable au passage du groupement politique à celui de parti unifié RHDP, tout le monde pourra se présenter et le meilleur sera retenu.
Le Président Alassane Ouattara va encore plus loin pour annoncer sa probable candidature pour un troisième mandat dans les colonnes du dernier numéro du journal Jeune Afrique.
Ces sons discordants vont entrainer de vives réactions au niveau des ivoiriens et notamment des militants du PDCI-RDA, entre les partisans largement majoritaires d’une alternance non négociable en faveur d’un cadre du PDCI-RDA et ceux minoritaires favorables à la disparition même du PDCI au profit du RHDP, parti unifié.
Chers Amis Journalistes,
Fidèle à son vœux de voir un militant actif de son parti briguer la magistrature suprême, le Président Henri Konan Bédié avait instruit, au cours d’un séminaire tenu à Bingerville en avril 2017, le Secrétariat Exécutif, de faire la promotion de ce militant actif pour l’élection présidentielle de 2020. Et c’est à cette tâche que s’attèle le Secrétaire Exécutif en chef Maurice Kacou Guikahué.
Il va s’en dire qu’on ne peut pas faire la promotion d’un candidat si celui-ci n’existe pas, en clair on ne peut pas faire la promotion du néant.
Chers Amis Journalistes,
En ce qui me concerne, Je suis originaire du Grand Ouest de la Côte d’Ivoire, Grand Ouest d’où sont originaires le Président Robert Guéi et son épouse assassinés. Grand Ouest d’où sont originaires le Président Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé qui se retrouvent aujourd’hui à la Cour Pénal Internationale (CPI). La réconciliation nationale, la cohésion sociale et la paix dans notre pays, ne peuvent se construire sans cette partie de la Côte d’Ivoire qui s’interroge depuis la rébellion de 2002 jusqu’à la longue crise post-électorale de décembre 2010 à avril 2011.
A l’état civil, je me nomme GOUALI DODO Basile Junior, Chrétien catholique de la Paroisse Notre Dame de l’Incarnation (NDI), marié et père de trois enfants. Député des législatures 2000-2005 et 2005-2010, ancien membre du Secrétariat Général du PDCI-RDA de 2002-2012, Inspecteur du Parti, Délégué Départemental, Commandeur dans l’Ordre du Bélier.
Mesdames et Messieurs les Journalistes,
M’inscrivant dans la logique des instructions du Président Henri Konan Bédié, demandant la promotion d’un militant actif du PDCI à l’élection présidentielle de 2020, j’ai décidé de répondre aux attentes et aux préoccupations des Ivoiriennes et des Ivoiriens de tout bord politique qui font d’une part, de la réconciliation nationale, la clef de voûte de la paix et de la stabilité dans notre pays et d’autre part, du renouvellement de la classe politique un enjeu majeur pour relever les défis nouveaux.
Chers Amis Journalistes, chers Parents,
Je suis candidat à la candidature pour l’élection présidentielle de 2020. Je suis intellectuellement, moralement et physiquement prêt à diriger la Côte d’Ivoire.
Nos compatriotes veulent une équipe jeune et dynamique qui est en phase avec une jeunesse de plus en plus nombreuse, inquiète et exigeante, une jeunesse estudiantine et scolaire qui s’interroge constamment sur son avenir dans un contexte de chômage endémique, de rattrapage ethnique et de corruption généralisée.
En effet, je milite pour la fin de ce rattrapage ethnique qui touche tous les concours d’entrée à la fonction publique et les nominations dans l’administration publique et même privée.
La réconciliation nationale en Côte d’Ivoire est en panne. Je veux être le porte étendard de cette réconciliation qui passe indispensablement par la libération de tous les prisonniers de la crise post-électorale.
Chers amis journalistes, Ivoiriennes et Ivoiriens, chers amis de la communauté internationale, la réconciliation en Côte d’Ivoire a un nom : c’est la libération immédiate et le retour du Président Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé en Côte d’Ivoire, leur pays.
Je veux le retour de tous les exilés ivoiriens en Côte d’Ivoire et surtout l’indemnisation de toutes les victimes de la crise post-électorale sans exception.
Je milite pour la non poursuite en justice des soldats dits pro Ouattara sur lesquels pèserait l’épée de Damoclès de la Cour Pénale Internationale (CPI), car la paix a un prix. Le pardon, rien que le pardon pour sauver la Côte d’Ivoire car l’accalmie que nous constatons n’est pas la paix. Je salue au passage l’engagement du Président de l’Assemblée Nationale Guillaume Soro pour la réconciliation nationale et le pardon.
Je milite, en tant que fils de paysan, pour que mes parents cultivateurs et planteurs de Côte d’Ivoire voient le prix bord champ de l’anacarde ou noix de cajou, du cacao, du café, de l’hévéa, de l’huile de palme, revalorisé.
Je milite pour une Côte d’Ivoire rassemblée, réconciliée autour d’un idéal de paix et de développement, une Côte d’Ivoire où l’endettement ne doit pas être une prouesse économique, un succès diplomatique et politique.
Je milite pour une politique qui va au-delà des clivages pour ne se concentrer que sur la Côte d’Ivoire car la Côte d’Ivoire doit être une chance pour tous les ivoiriens.
C’est pourquoi, j’invite toutes les ivoiriennes et tous les ivoiriens en âge de voter de s’enrôler massivement sur les listes électorales du 18 au 24 juin 2018 pour espérer changer le destin de leur pays en 2020, même si nous reconnaissons tous avec la CEDEAO que la Commission Electorale Indépendante, dirigée par Youssouf Bakayoko qui doit rendre service à la Côte d’Ivoire en démissionnant, doit être réorganisée pour épouser le nouveau paysage politique de notre pays.
Sachez chers amis, qu’en espérant présider aux destinées de la Côte d’Ivoire notre pays, je veux incarner la sagesse du Président Félix Houphouêt Boigny, le Don de soi du Président Henri Konan Bédié, le Bon ton du Général Robert Guéi, le patriotisme éclairé du Président Laurent Gbagbo et l’amour du travail du Président Alassane Ouattara.
Je suis donc candidat à l’élection présidentielle de 2020 pour la reconquête de l’espoir perdu.
J’invite les ivoiriens de tout bord politique, du Nord, du Grand Centre, de l’Est, du Sud et de l’Ouest à s’approprier cette candidature.
Ma détermination est intacte et mon engagement pour la réconciliation nationale et la paix en Côte d’Ivoire non négociable.
Ensemble, c’est possible !
Ensemble, nous réussirons !
Vive la Démocratie, vive la Côte d’Ivoire réconciliée.
VAVOUA, LE SAMEDI 16 JUIN 2018
L’élection présidentielle d’octobre 2020 polarise l’attention de toute la Côte d’Ivoire, des amis de notre pays, des acteurs et observateurs de la scène politique nationale et internationale.
En effet, le Président Alassane Ouattara, Président de la République, est à son deuxième et dernier mandat. Il l’a lui-même signifié à plusieurs reprises.
Par exemple, le 5 janvier 2017, à l’occasion de ses 75 ans, le Président de la République avait fait cette annonce solennelle en ces termes : « A l’occasion de mes 75 ans ceci m’amène à réaffirmer que les institutions de la République qui seront mises en place très prochainement me permettront de prendre congé en 2020».
En ce qui concerne le Président Henri Konan Bédié, Président du PDCI-RDA, fort de son soutien à l’élection du Président Alassane Ouattara en 2010 et à sa réélection en 2015, il veut voir un militant actif de son parti candidat de la coalition. Le Président Henri Konan Bédié va même plus loin en bloquant ses écrits : « Le PDCI-RDA aura son candidat en 2020 ».
Cependant, selon le Président Alassane Ouattara, qui n’aurait rien promis au Président Bédié et très favorable au passage du groupement politique à celui de parti unifié RHDP, tout le monde pourra se présenter et le meilleur sera retenu.
Le Président Alassane Ouattara va encore plus loin pour annoncer sa probable candidature pour un troisième mandat dans les colonnes du dernier numéro du journal Jeune Afrique.
Ces sons discordants vont entrainer de vives réactions au niveau des ivoiriens et notamment des militants du PDCI-RDA, entre les partisans largement majoritaires d’une alternance non négociable en faveur d’un cadre du PDCI-RDA et ceux minoritaires favorables à la disparition même du PDCI au profit du RHDP, parti unifié.
Chers Amis Journalistes,
Fidèle à son vœux de voir un militant actif de son parti briguer la magistrature suprême, le Président Henri Konan Bédié avait instruit, au cours d’un séminaire tenu à Bingerville en avril 2017, le Secrétariat Exécutif, de faire la promotion de ce militant actif pour l’élection présidentielle de 2020. Et c’est à cette tâche que s’attèle le Secrétaire Exécutif en chef Maurice Kacou Guikahué.
Il va s’en dire qu’on ne peut pas faire la promotion d’un candidat si celui-ci n’existe pas, en clair on ne peut pas faire la promotion du néant.
Chers Amis Journalistes,
En ce qui me concerne, Je suis originaire du Grand Ouest de la Côte d’Ivoire, Grand Ouest d’où sont originaires le Président Robert Guéi et son épouse assassinés. Grand Ouest d’où sont originaires le Président Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé qui se retrouvent aujourd’hui à la Cour Pénal Internationale (CPI). La réconciliation nationale, la cohésion sociale et la paix dans notre pays, ne peuvent se construire sans cette partie de la Côte d’Ivoire qui s’interroge depuis la rébellion de 2002 jusqu’à la longue crise post-électorale de décembre 2010 à avril 2011.
A l’état civil, je me nomme GOUALI DODO Basile Junior, Chrétien catholique de la Paroisse Notre Dame de l’Incarnation (NDI), marié et père de trois enfants. Député des législatures 2000-2005 et 2005-2010, ancien membre du Secrétariat Général du PDCI-RDA de 2002-2012, Inspecteur du Parti, Délégué Départemental, Commandeur dans l’Ordre du Bélier.
Mesdames et Messieurs les Journalistes,
M’inscrivant dans la logique des instructions du Président Henri Konan Bédié, demandant la promotion d’un militant actif du PDCI à l’élection présidentielle de 2020, j’ai décidé de répondre aux attentes et aux préoccupations des Ivoiriennes et des Ivoiriens de tout bord politique qui font d’une part, de la réconciliation nationale, la clef de voûte de la paix et de la stabilité dans notre pays et d’autre part, du renouvellement de la classe politique un enjeu majeur pour relever les défis nouveaux.
Chers Amis Journalistes, chers Parents,
Je suis candidat à la candidature pour l’élection présidentielle de 2020. Je suis intellectuellement, moralement et physiquement prêt à diriger la Côte d’Ivoire.
Nos compatriotes veulent une équipe jeune et dynamique qui est en phase avec une jeunesse de plus en plus nombreuse, inquiète et exigeante, une jeunesse estudiantine et scolaire qui s’interroge constamment sur son avenir dans un contexte de chômage endémique, de rattrapage ethnique et de corruption généralisée.
En effet, je milite pour la fin de ce rattrapage ethnique qui touche tous les concours d’entrée à la fonction publique et les nominations dans l’administration publique et même privée.
La réconciliation nationale en Côte d’Ivoire est en panne. Je veux être le porte étendard de cette réconciliation qui passe indispensablement par la libération de tous les prisonniers de la crise post-électorale.
Chers amis journalistes, Ivoiriennes et Ivoiriens, chers amis de la communauté internationale, la réconciliation en Côte d’Ivoire a un nom : c’est la libération immédiate et le retour du Président Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé en Côte d’Ivoire, leur pays.
Je veux le retour de tous les exilés ivoiriens en Côte d’Ivoire et surtout l’indemnisation de toutes les victimes de la crise post-électorale sans exception.
Je milite pour la non poursuite en justice des soldats dits pro Ouattara sur lesquels pèserait l’épée de Damoclès de la Cour Pénale Internationale (CPI), car la paix a un prix. Le pardon, rien que le pardon pour sauver la Côte d’Ivoire car l’accalmie que nous constatons n’est pas la paix. Je salue au passage l’engagement du Président de l’Assemblée Nationale Guillaume Soro pour la réconciliation nationale et le pardon.
Je milite, en tant que fils de paysan, pour que mes parents cultivateurs et planteurs de Côte d’Ivoire voient le prix bord champ de l’anacarde ou noix de cajou, du cacao, du café, de l’hévéa, de l’huile de palme, revalorisé.
Je milite pour une Côte d’Ivoire rassemblée, réconciliée autour d’un idéal de paix et de développement, une Côte d’Ivoire où l’endettement ne doit pas être une prouesse économique, un succès diplomatique et politique.
Je milite pour une politique qui va au-delà des clivages pour ne se concentrer que sur la Côte d’Ivoire car la Côte d’Ivoire doit être une chance pour tous les ivoiriens.
C’est pourquoi, j’invite toutes les ivoiriennes et tous les ivoiriens en âge de voter de s’enrôler massivement sur les listes électorales du 18 au 24 juin 2018 pour espérer changer le destin de leur pays en 2020, même si nous reconnaissons tous avec la CEDEAO que la Commission Electorale Indépendante, dirigée par Youssouf Bakayoko qui doit rendre service à la Côte d’Ivoire en démissionnant, doit être réorganisée pour épouser le nouveau paysage politique de notre pays.
Sachez chers amis, qu’en espérant présider aux destinées de la Côte d’Ivoire notre pays, je veux incarner la sagesse du Président Félix Houphouêt Boigny, le Don de soi du Président Henri Konan Bédié, le Bon ton du Général Robert Guéi, le patriotisme éclairé du Président Laurent Gbagbo et l’amour du travail du Président Alassane Ouattara.
Je suis donc candidat à l’élection présidentielle de 2020 pour la reconquête de l’espoir perdu.
J’invite les ivoiriens de tout bord politique, du Nord, du Grand Centre, de l’Est, du Sud et de l’Ouest à s’approprier cette candidature.
Ma détermination est intacte et mon engagement pour la réconciliation nationale et la paix en Côte d’Ivoire non négociable.
Ensemble, c’est possible !
Ensemble, nous réussirons !
Vive la Démocratie, vive la Côte d’Ivoire réconciliée.
VAVOUA, LE SAMEDI 16 JUIN 2018