Abidjan-(Côte d’Ivoire) - Un colloque international de la Fondation Mohamed VI des oulémas (théologiens) africains s’est ouvert, jeudi à Abidjan, au cours duquel le Président du Conseil supérieur des Imams en Côte d’Ivoire (COSIM), Boikary Fofana a souligné la nécessité de la coexistence pacifique entre les différentes composantes de la société ivoirienne, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
« Il y’a la pluralité linguistique et religieuse dans un pays comme le nôtre, nous avons besoin de la coexistence pacifique avec toutes les composantes de la société », a insisté l’Imam Boikary Fofana à ce colloque de la Fondation Mohamed VI des oulémas africains.
« Il faut qu’on change et réhabilite nos valeurs. Le radicalisme n’est pas islamique », a poursuivi le guide religieux, par ailleurs Président de la section locale de ladite Fondation.
Pour sa part, le ministre ivoirien de l’intérieur et de la sécurité, Sidiki Diakité, s’est honoré de l’organisation d’un tel colloque.
« Au cours de l’étude pour l’installation de la Fondation, nous avons pu nous rendre compte des nobles objectifs de cette Fondation qui cultive les principes du pardon, de la réconciliation, de la paix, de la solidarité, de la tolérance et du partage », a témoigné Sidiki Diakité.
Selon lui, « les principes défendus par la Fondation rencontre harmonieusement les principes du vivre ensemble prôné par le Président Alassane Ouattara ». « Si l’humanité pouvait embrasser ces principes, nous vivrions mieux », a-t-il souligné.
Quelque 130 guides religieux participent à ce colloque scientifique en vue de la promotion de la coexistence pacifique initiée par la section ivoirienne de la Fondation Mohamed VI sous le thème, « Doctrine acharite: Fondements et avantages en matière de coexistence pacifique ».
La rencontre se tient en présence du Secrétaire général de la Fondation, Si Mohamed Rifki, s’achève vendredi.
La Fondation Mohamed VI des oulémas africains créée le 13 juillet 2015 et dirigée par le Roi du Maroc, se veut être un cadre de coopération entre les oulémas du Maroc et ceux des pays africains d’une part, et entre ces oulémas africains d’autre part, aux fins de préserver la religion contre les déviations et l’extrémisme, de sorte que ses valeurs magnanimes soient au service de la stabilité et du développement dans ces pays.
Il s’inscrit également dans le cadre de la consolidation des liens tant religieux, historiques et civilisationnels (culturels) qui unissent le Royaume du Maroc à l’Afrique.
SY/ls
« Il y’a la pluralité linguistique et religieuse dans un pays comme le nôtre, nous avons besoin de la coexistence pacifique avec toutes les composantes de la société », a insisté l’Imam Boikary Fofana à ce colloque de la Fondation Mohamed VI des oulémas africains.
« Il faut qu’on change et réhabilite nos valeurs. Le radicalisme n’est pas islamique », a poursuivi le guide religieux, par ailleurs Président de la section locale de ladite Fondation.
Pour sa part, le ministre ivoirien de l’intérieur et de la sécurité, Sidiki Diakité, s’est honoré de l’organisation d’un tel colloque.
« Au cours de l’étude pour l’installation de la Fondation, nous avons pu nous rendre compte des nobles objectifs de cette Fondation qui cultive les principes du pardon, de la réconciliation, de la paix, de la solidarité, de la tolérance et du partage », a témoigné Sidiki Diakité.
Selon lui, « les principes défendus par la Fondation rencontre harmonieusement les principes du vivre ensemble prôné par le Président Alassane Ouattara ». « Si l’humanité pouvait embrasser ces principes, nous vivrions mieux », a-t-il souligné.
Quelque 130 guides religieux participent à ce colloque scientifique en vue de la promotion de la coexistence pacifique initiée par la section ivoirienne de la Fondation Mohamed VI sous le thème, « Doctrine acharite: Fondements et avantages en matière de coexistence pacifique ».
La rencontre se tient en présence du Secrétaire général de la Fondation, Si Mohamed Rifki, s’achève vendredi.
La Fondation Mohamed VI des oulémas africains créée le 13 juillet 2015 et dirigée par le Roi du Maroc, se veut être un cadre de coopération entre les oulémas du Maroc et ceux des pays africains d’une part, et entre ces oulémas africains d’autre part, aux fins de préserver la religion contre les déviations et l’extrémisme, de sorte que ses valeurs magnanimes soient au service de la stabilité et du développement dans ces pays.
Il s’inscrit également dans le cadre de la consolidation des liens tant religieux, historiques et civilisationnels (culturels) qui unissent le Royaume du Maroc à l’Afrique.
SY/ls