Niakara- Un abattoir de type industriel est en construction à l'entrée Sud de la ville de Niakara (Centre-nord, région du Hambol) et ce, par des opérateurs économiques chinois qui entendent, parallèlement à cet investissement privé, développer l'élevage d'ânes, de chevaux, de bovins, d'ovins et de caprins, a constaté l'AIP sur place samedi.
Un abattoir, destiné à la charcuterie et à la commercialisation à l'échelle industrielle de bovins, d'ovins et de caprins mais également d'ânes et chevaux, est en construction sur la piste d'accès à Pêkaha, à quelque 1,5 Km de Niakara, à l'entrée Sud de la ville.
"Des investisseurs chinois ont choisi notre ville pour y promouvoir l'élevage et l'abattage tant des bœufs, des moutons et des cabris que des chevaux et des ânes. Ils ambitionnent d'orienter la commercialisation de la viande issue de ce projet vers l'étranger", a révélé le maire de la commune de Niakara, Marc Koné Kidjafolo, lors de la réunion ordinaire du conseil municipal tenue vendredi.
En outre, Marc Koné a indiqué que ces opérateurs économiques chinois formeront des jeunes aussi bien aux techniques d'élevage qu'aux méthodes de charcuterie, relativement à ce projet.
En effet, une vingtaine d'ouvriers (des maçons, des ferronniers et des charpentiers) s'affairent depuis une semaine autour d'un bâtiment de 24 mètres sur 12, comprenant deux chambres froides, des vestiaires et des bureaux en cours d'achèvement, et d'un autre édifice annexe de 12 mètres sur 6.
Jbm/fmo
Un abattoir, destiné à la charcuterie et à la commercialisation à l'échelle industrielle de bovins, d'ovins et de caprins mais également d'ânes et chevaux, est en construction sur la piste d'accès à Pêkaha, à quelque 1,5 Km de Niakara, à l'entrée Sud de la ville.
"Des investisseurs chinois ont choisi notre ville pour y promouvoir l'élevage et l'abattage tant des bœufs, des moutons et des cabris que des chevaux et des ânes. Ils ambitionnent d'orienter la commercialisation de la viande issue de ce projet vers l'étranger", a révélé le maire de la commune de Niakara, Marc Koné Kidjafolo, lors de la réunion ordinaire du conseil municipal tenue vendredi.
En outre, Marc Koné a indiqué que ces opérateurs économiques chinois formeront des jeunes aussi bien aux techniques d'élevage qu'aux méthodes de charcuterie, relativement à ce projet.
En effet, une vingtaine d'ouvriers (des maçons, des ferronniers et des charpentiers) s'affairent depuis une semaine autour d'un bâtiment de 24 mètres sur 12, comprenant deux chambres froides, des vestiaires et des bureaux en cours d'achèvement, et d'un autre édifice annexe de 12 mètres sur 6.
Jbm/fmo