ABIDJAN - Le taux de participation des Ivoiriens à l’enrôlement électoral qui s’est achevé dimanche, en prélude aux prochaines élections régionales et municipales, “oscille entre 6 et 9% de pétitionnaires attendus’’, a estimé lundi la frange du Front populaire ivoirien (FPI, Opposition) dirigée par Aboudramane Sangaré, qui avait appelé au boycott de cette opération.
“A la date de clôture du 24 juin 2018 au soir, le taux de participation oscille entre 6 et 9% du nombre de pétitionnaires attendus’’, estime cette frange du FPI, dans un communiqué
Selon elle, l’opération “a échoué’’ et a été “massivement boudée’’ par les populations en raison du “mot d’ordre de boycott’’.
La plateforme d’opposition Ensemble pour la démocratie et la souveraineté (EDS), qui juge la Commission électorale indépendante (CEI) “illégale et illégitime”, avait appelé “les Ivoiriens” à ne pas se faire “enrôler” sur la liste électorale.
La frange du FPI, conduite par Aboudramane Sangaré avait quant à elle promis “de faire barrage’’ à cette opération d’enrôlement électoral.
Au contraire du FPI Sangaré et d’EDS, d’autres organisations de l’opposition ont appelé les Ivoiriens à se faire enrôler.
Liberté pour la démocratie (LIDER, Opposition), le parti de l’ancien président de l’Assemblée nationale, Mamadou Koulibaly, et l’Union républicaine pour la démocratie (URD, opposition) de l’ex-ministre Danielle Boni-Claverie se sont dit “opposés’’ à l’appel au boycott.
L’autre frange du Front populaire ivoirien (FPI, principal parti d’opposition), conduite par Pascal Affi N’Guessan et le Rassemblement pour la paix, le progrès et le partage (RPP), Gnonzié Ouattara, ont eux aussi, appelé les Ivoiriens à se faire enrôler.
SKO
“A la date de clôture du 24 juin 2018 au soir, le taux de participation oscille entre 6 et 9% du nombre de pétitionnaires attendus’’, estime cette frange du FPI, dans un communiqué
Selon elle, l’opération “a échoué’’ et a été “massivement boudée’’ par les populations en raison du “mot d’ordre de boycott’’.
La plateforme d’opposition Ensemble pour la démocratie et la souveraineté (EDS), qui juge la Commission électorale indépendante (CEI) “illégale et illégitime”, avait appelé “les Ivoiriens” à ne pas se faire “enrôler” sur la liste électorale.
La frange du FPI, conduite par Aboudramane Sangaré avait quant à elle promis “de faire barrage’’ à cette opération d’enrôlement électoral.
Au contraire du FPI Sangaré et d’EDS, d’autres organisations de l’opposition ont appelé les Ivoiriens à se faire enrôler.
Liberté pour la démocratie (LIDER, Opposition), le parti de l’ancien président de l’Assemblée nationale, Mamadou Koulibaly, et l’Union républicaine pour la démocratie (URD, opposition) de l’ex-ministre Danielle Boni-Claverie se sont dit “opposés’’ à l’appel au boycott.
L’autre frange du Front populaire ivoirien (FPI, principal parti d’opposition), conduite par Pascal Affi N’Guessan et le Rassemblement pour la paix, le progrès et le partage (RPP), Gnonzié Ouattara, ont eux aussi, appelé les Ivoiriens à se faire enrôler.
SKO