Abidjan - Une délégation du Mouvement des entreprises de France (MEDEF international) qui a séjourné en Côte d’Ivoire du 25 au 27 juin s’est dite déterminée à faire face à la concurrence chinoise et américaine dans le pays.
Se prononçant sur les acquis de leur visite de trois jours en Côte d’Ivoire, mercredi Bruno Mettling, chef de délégation et président du conseil des chefs d’entreprises Afrique de l’Ouest du Medef s’est dit favorable à la concurrence et donc à la compétition à condition que celle-ci apporte le développement équilibré, une autre façon d’appeler au partenariat gagnant-gagnant.
«La concurrence est une logique du développement réel. C’est un stimulant pour les entreprises françaises. Ce que je plaide cependant c’est (de fonder) cette concurrence sur trois piliers essentiels que sont la compétitivité, l’offre et l’impact de l’investissement », a-t-il expliqué.
Pour lui, à la différence des entreprises asiatiques et autres, les firmes françaises qui s’installent en Côte d’Ivoire apportent non seulement de la valeur ajoutée, contribuent à 30 % du Pib ivoirien mais en plus, font preuve de savoir-faire et de responsabilité sociale, restent compétitives tout en créant des emplois pour les nationaux.
Il en veut pour preuve les 40 mille emplois générés par les seules sociétés françaises.
Faisant allusion aux échéances de 2020, le conférencier a révélé qu’il croit en l’avenir de la Côte d’Ivoire et en sa capacité de triompher.
La délégation du MEDEF était composée de 40 entreprises et de 50 participants issus des secteurs de la construction industrielle, des Finances, de la Communication, de la Banque (…) et des Assurances.
Le volume des échanges commerciaux entre la France et la Côte d’Ivoire a presque doublé, en passant de 855 millions d’euros en 2011 à environ 1,7 milliard d’euros en 2017. Ce qui fait de la France le deuxième fournisseur de la Cote d’Ivoire.
Les exportations ivoiriennes en direction de la France composées principalement de cacao, de banane, de caoutchouc, de bois, se sont élevées à 369 milliards de francs CFA en 2017 et les importations ont atteint 618 milliards de francs CFA.
bsp/tm
Se prononçant sur les acquis de leur visite de trois jours en Côte d’Ivoire, mercredi Bruno Mettling, chef de délégation et président du conseil des chefs d’entreprises Afrique de l’Ouest du Medef s’est dit favorable à la concurrence et donc à la compétition à condition que celle-ci apporte le développement équilibré, une autre façon d’appeler au partenariat gagnant-gagnant.
«La concurrence est une logique du développement réel. C’est un stimulant pour les entreprises françaises. Ce que je plaide cependant c’est (de fonder) cette concurrence sur trois piliers essentiels que sont la compétitivité, l’offre et l’impact de l’investissement », a-t-il expliqué.
Pour lui, à la différence des entreprises asiatiques et autres, les firmes françaises qui s’installent en Côte d’Ivoire apportent non seulement de la valeur ajoutée, contribuent à 30 % du Pib ivoirien mais en plus, font preuve de savoir-faire et de responsabilité sociale, restent compétitives tout en créant des emplois pour les nationaux.
Il en veut pour preuve les 40 mille emplois générés par les seules sociétés françaises.
Faisant allusion aux échéances de 2020, le conférencier a révélé qu’il croit en l’avenir de la Côte d’Ivoire et en sa capacité de triompher.
La délégation du MEDEF était composée de 40 entreprises et de 50 participants issus des secteurs de la construction industrielle, des Finances, de la Communication, de la Banque (…) et des Assurances.
Le volume des échanges commerciaux entre la France et la Côte d’Ivoire a presque doublé, en passant de 855 millions d’euros en 2011 à environ 1,7 milliard d’euros en 2017. Ce qui fait de la France le deuxième fournisseur de la Cote d’Ivoire.
Les exportations ivoiriennes en direction de la France composées principalement de cacao, de banane, de caoutchouc, de bois, se sont élevées à 369 milliards de francs CFA en 2017 et les importations ont atteint 618 milliards de francs CFA.
bsp/tm
