L’élan de solidarité à l’endroit des victimes des graves inondations des 18 et 19 juin derniers ne faiblit pas. Une délégation de la Ligue ivoirienne des droits de l’Homme, avec à sa tête son président Pierre Adjoumani Kouamé, est allée rendre visite aux sinistrés ce lundi 2 juillet 2018 à Cocody au sous quartier Alabra Réconciliation à la Riviera 3. La structure est venue exprimer sa compassion aux victimes des graves pluies et aussi leur offrir des dons en vivres et non-vivres.
« C’est un réconfort moral. En pareille situation, nous avons besoin de compassion parce que nous avons été très éprouvés », a indiqué Sanogoh Siaka, président du syndicat des co-propriétaires de la cité Alabra qui a reçu la délégation chez lui. Il a informé que 115 villas sur les 145 qui composent la cité Alabra Réconciliation ont été endommagées par la furia des eaux de pluie. Par ailleurs, quoique n’étant pas contre la destruction des maisons situées dans les bassins d’orage, il a dénoncé la manière dont le gouvernement y procède. « Ils ont mis des croix sur nos maisons sans nous prévenir », a-t-il relevé. Cela vient, selon M. Sanogoh Siaka, en rajouter à leur chagrin moral.
Pierre Adjoumani Kouamé l’a rassuré d’être leur porte-voix pour se faire entendre à travers la cellule juridique de la LIDHO au cas où la structure serait sollicitée. M. Adjoumani a également encouragé la concertation entre l’État, les populations et les organisations des droits de la société civile en vue de trouver des «solutions idoines » aux problèmes des sinistrés.
D.Tagro
« C’est un réconfort moral. En pareille situation, nous avons besoin de compassion parce que nous avons été très éprouvés », a indiqué Sanogoh Siaka, président du syndicat des co-propriétaires de la cité Alabra qui a reçu la délégation chez lui. Il a informé que 115 villas sur les 145 qui composent la cité Alabra Réconciliation ont été endommagées par la furia des eaux de pluie. Par ailleurs, quoique n’étant pas contre la destruction des maisons situées dans les bassins d’orage, il a dénoncé la manière dont le gouvernement y procède. « Ils ont mis des croix sur nos maisons sans nous prévenir », a-t-il relevé. Cela vient, selon M. Sanogoh Siaka, en rajouter à leur chagrin moral.
Pierre Adjoumani Kouamé l’a rassuré d’être leur porte-voix pour se faire entendre à travers la cellule juridique de la LIDHO au cas où la structure serait sollicitée. M. Adjoumani a également encouragé la concertation entre l’État, les populations et les organisations des droits de la société civile en vue de trouver des «solutions idoines » aux problèmes des sinistrés.
D.Tagro