Près de 800 milliards de Fcfa ont été investis dans les infrastructures au Port autonome d’Abidjan depuis 2015, a indiqué mardi à Abidjan, le ministre ivoirien des Transports, Amadou Koné, lors d’une séance de travail avec l’équipe du Millennium challenge corporation (MCC), une agence indépendante du gouvernement des Etats-Unis.
« Le gouvernement ivoirien continue d’investir dans les infrastructures, ainsi depuis 2015, c’est à peu près 800 milliards de Fcfa qui ont été investis dans les infrastructures au port d’Abidjan », a dit M. Amadou Koné, qui s’exprimait sur les questions de compétitivité du port.
II a assuré que les problèmes de compétitivité ont été « clairement identifiés » au-delà des questions de protection sur lesquels son département est en train de chercher des solutions en termes de management, de simplification et d’harmonisation des procédures au niveau du port.
Dans cette perspective, l’Etat ivoirien a mis en place une Commission sur la compétitivité du port d’Abidjan. Cette commission réunit notamment les représentants des différentes administrations concernées : la tutelle des douanes, le ministère de l’économie et des finances, et le secteur privé.
La plateforme portuaire d’Abidjan, un maillon essentiel de la chaîne logistique ouest-africaine, se positionne comme un hub port de référence sur le continent. Elle a traité 22,55 millions de tonnes de marchandises en 2017 contre 21,734 millions en 2016.
Le MCC prend en compte des questions de compétitivité du port avec la réhabilitation et l’aménagement des routes aussi bien à l’intérieur qu’aux alentours de la zone portuaire, et en améliorant la gestion et la maintenance du réseau routier.
Pour augmenter la cadence du trafic, le port d’Abidjan a engagé des travaux qui devraient permettre d’accueillir de grands navires et favoriser une économie d’échelle des opérateurs. Un terminal céréalier d’un coût de 55 milliards Fcfa est envisagé et devrait permettre d’accroître le tirant d’eau actuel qui est de 9 mètres.
Le poids du port d’Abidjan dans l’économie nationale représente 76% des échanges extérieurs de la Côte d’Ivoire, 73% des recettes douanières et 60% des grandes industries du pays. Le pays ambitionne de se positionner comme le port leader en termes de trafic sur la façade Atlantique de l’Afrique.
AP/ls/APA
« Le gouvernement ivoirien continue d’investir dans les infrastructures, ainsi depuis 2015, c’est à peu près 800 milliards de Fcfa qui ont été investis dans les infrastructures au port d’Abidjan », a dit M. Amadou Koné, qui s’exprimait sur les questions de compétitivité du port.
II a assuré que les problèmes de compétitivité ont été « clairement identifiés » au-delà des questions de protection sur lesquels son département est en train de chercher des solutions en termes de management, de simplification et d’harmonisation des procédures au niveau du port.
Dans cette perspective, l’Etat ivoirien a mis en place une Commission sur la compétitivité du port d’Abidjan. Cette commission réunit notamment les représentants des différentes administrations concernées : la tutelle des douanes, le ministère de l’économie et des finances, et le secteur privé.
La plateforme portuaire d’Abidjan, un maillon essentiel de la chaîne logistique ouest-africaine, se positionne comme un hub port de référence sur le continent. Elle a traité 22,55 millions de tonnes de marchandises en 2017 contre 21,734 millions en 2016.
Le MCC prend en compte des questions de compétitivité du port avec la réhabilitation et l’aménagement des routes aussi bien à l’intérieur qu’aux alentours de la zone portuaire, et en améliorant la gestion et la maintenance du réseau routier.
Pour augmenter la cadence du trafic, le port d’Abidjan a engagé des travaux qui devraient permettre d’accueillir de grands navires et favoriser une économie d’échelle des opérateurs. Un terminal céréalier d’un coût de 55 milliards Fcfa est envisagé et devrait permettre d’accroître le tirant d’eau actuel qui est de 9 mètres.
Le poids du port d’Abidjan dans l’économie nationale représente 76% des échanges extérieurs de la Côte d’Ivoire, 73% des recettes douanières et 60% des grandes industries du pays. Le pays ambitionne de se positionner comme le port leader en termes de trafic sur la façade Atlantique de l’Afrique.
AP/ls/APA