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Dans le cadre de l’élaboration du Plan stratégique de l’intégration régionale (PSI) pour la période 2018-2022, la Direction générale de l’intégration africaine (DGIA) sous la coupole du Ministère de l’intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur (MIAIE), a organisé ce mardi 3 juillet 2018, à Abidjan, l’atelier de restitution et de vulgarisation dudit PSI. A la suite de plusieurs rencontres, ce présent atelier vise à obtenir l’implication des ambassades, des institutions régionales et internationales ainsi que des partenaires techniques financiers (PTF) dans la mise en œuvre du Plan stratégique de l’intégration régionale.
De façon spécifique, il a été question d’informer les 40 participants de cet atelier dont représentations diplomatiques, les institutions régionales et internationales, ainsi que les partenaires techniques et financiers du contenu du PSI en vue de son appropriation. Mais surtout, de recueillir leurs propositions et formuler des recommandations pour la finalisation du document.
A l’ouverture de ces travaux, le Directeur de cabinet, M. Alassane Diamouténé, représentant le ministre de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur, M. Ally Coulibaly, a indiqué que la dimension économique de l’intégration régionale commande que les obstacles aux échanges entre les Etats soient réduits, puis supprimés, aux fins de constituer un espace économique homogène. C’est un processus qui implique des aspects commerciaux, macroéconomiques et sectoriels pour atteindre son plein épanouissement. « Quel que soit le continent, aucune nation, prise à elle toute seule, ne saurait apporter des réponses efficaces aux problématiques de développement. Elle ne peut se développer sans appartenir à un espace commun régi par des Accords et Traités. A cet effet, le rassemblement des pays au sein des groupes régionaux est un fait qui s’impose à toutes les nations modernes », a déclaré M. Alassane Diamouténé.
Selon lui, ce bref rappel du concept de l’intégration a eu pour objectif de montrer la nécessité pour la Côte d’Ivoire de prendre toute sa place dans ce processus en Afrique de façon générale et dans la sous-région en particulier. « C’est une ambition qui sous-tend notre vision de faire de la Côte d’Ivoire la pierre angulaire de cet édifice qu’est l’intégration, aussi bien au plan sous-régional que régional », a-t-il souligné.
Notons par ailleurs que l’élaboration du PSI 2018-2022 est en réalité, l’aboutissement d’un long processus qui a démarré en avril 2016 à Yamoussoukro, avec l’organisation d’un atelier interne de réflexion pour l’élaboration de la d’orientation du PSI. Ensuite, avec les représentants des ministères techniques, des organisations régionales et internationales et des membres de la société civile, en août 2017, à Yamoussoukro pour la restitution et la validation du document provisoire du Plan stratégique de l’intégration. Plusieurs ateliers en interne ont eu lieu à Abidjan et à Grand-Bassam pour une relecture du projet de PSI. Tirant le meilleur parti des expériences et sur la base des différentes contributions de tous les acteurs concernés à ces ateliers, les services compétents du MIAIE se sont attelés à enrichir le projet de Plan stratégique de l’intégration régionale 2018-2022.
En définitive, la rencontre de ce jour vise donc à faire une restitution et une vulgarisation de la PSI de la Côte d’Ivoire auprès des ambassades et des organisations régionales et internationales.
JOB
De façon spécifique, il a été question d’informer les 40 participants de cet atelier dont représentations diplomatiques, les institutions régionales et internationales, ainsi que les partenaires techniques et financiers du contenu du PSI en vue de son appropriation. Mais surtout, de recueillir leurs propositions et formuler des recommandations pour la finalisation du document.
A l’ouverture de ces travaux, le Directeur de cabinet, M. Alassane Diamouténé, représentant le ministre de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur, M. Ally Coulibaly, a indiqué que la dimension économique de l’intégration régionale commande que les obstacles aux échanges entre les Etats soient réduits, puis supprimés, aux fins de constituer un espace économique homogène. C’est un processus qui implique des aspects commerciaux, macroéconomiques et sectoriels pour atteindre son plein épanouissement. « Quel que soit le continent, aucune nation, prise à elle toute seule, ne saurait apporter des réponses efficaces aux problématiques de développement. Elle ne peut se développer sans appartenir à un espace commun régi par des Accords et Traités. A cet effet, le rassemblement des pays au sein des groupes régionaux est un fait qui s’impose à toutes les nations modernes », a déclaré M. Alassane Diamouténé.
Selon lui, ce bref rappel du concept de l’intégration a eu pour objectif de montrer la nécessité pour la Côte d’Ivoire de prendre toute sa place dans ce processus en Afrique de façon générale et dans la sous-région en particulier. « C’est une ambition qui sous-tend notre vision de faire de la Côte d’Ivoire la pierre angulaire de cet édifice qu’est l’intégration, aussi bien au plan sous-régional que régional », a-t-il souligné.
Notons par ailleurs que l’élaboration du PSI 2018-2022 est en réalité, l’aboutissement d’un long processus qui a démarré en avril 2016 à Yamoussoukro, avec l’organisation d’un atelier interne de réflexion pour l’élaboration de la d’orientation du PSI. Ensuite, avec les représentants des ministères techniques, des organisations régionales et internationales et des membres de la société civile, en août 2017, à Yamoussoukro pour la restitution et la validation du document provisoire du Plan stratégique de l’intégration. Plusieurs ateliers en interne ont eu lieu à Abidjan et à Grand-Bassam pour une relecture du projet de PSI. Tirant le meilleur parti des expériences et sur la base des différentes contributions de tous les acteurs concernés à ces ateliers, les services compétents du MIAIE se sont attelés à enrichir le projet de Plan stratégique de l’intégration régionale 2018-2022.
En définitive, la rencontre de ce jour vise donc à faire une restitution et une vulgarisation de la PSI de la Côte d’Ivoire auprès des ambassades et des organisations régionales et internationales.
JOB
