Abidjan - Le président équato-guinéen, Teodoro Obiang Nguema, a décidé d’amnistier tous les prisonniers politiques et tous les opposants condamnés ou interdits d’activité, selon un décret lu, mercredi, à la télévision nationale.
Cette mesure, qui survient à moins de deux semaines d’un dialogue national, est faite envers l’opposition qui avait fait de cette amnistie, une des principales conditions à sa participation au dialogue politique convoqué mi-juillet. Le texte stipule également que l’amnistie concerne toute personne « privée de liberté ou empêchée d’exercer son droit politique dans le pays ».
« J’accorde l’amnistie totale à tous les citoyens condamnés par les tribunaux pour des délits politiques dans l’exercice de leur activité, afin de permettre une large participation de tous les acteurs politiques au dialogue national entre le gouvernement et les partis politiques légalisés, acteurs politiques de l’intérieur et de la diaspora, société civile et confessions religieuses».
Le chef de l’Etat, au pouvoir depuis 1979, s’engage, par ailleurs, à garantir la liberté et la sécurité à tous les participants au dialogue qui, selon le texte, se tiendra du 16 au 21 juillet, sous l’œil, et c’est une première, d’observateurs internationaux.
tls/fmo
Cette mesure, qui survient à moins de deux semaines d’un dialogue national, est faite envers l’opposition qui avait fait de cette amnistie, une des principales conditions à sa participation au dialogue politique convoqué mi-juillet. Le texte stipule également que l’amnistie concerne toute personne « privée de liberté ou empêchée d’exercer son droit politique dans le pays ».
« J’accorde l’amnistie totale à tous les citoyens condamnés par les tribunaux pour des délits politiques dans l’exercice de leur activité, afin de permettre une large participation de tous les acteurs politiques au dialogue national entre le gouvernement et les partis politiques légalisés, acteurs politiques de l’intérieur et de la diaspora, société civile et confessions religieuses».
Le chef de l’Etat, au pouvoir depuis 1979, s’engage, par ailleurs, à garantir la liberté et la sécurité à tous les participants au dialogue qui, selon le texte, se tiendra du 16 au 21 juillet, sous l’œil, et c’est une première, d’observateurs internationaux.
tls/fmo