Au cours d’une assemblée générale mixte le 5 juillet 2018 à Abidjan, les opérateurs de Change manuel exerçant sur le territoire ivoirien ont réaffirmé leur engagement à accompagner les autorités dans la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.
‘’Aujourd’hui la Lutte contre le Blanchiment de Capitaux et le Financement du Terrorisme nous met au défis d’une conformité aux normes internationales de la finance, auquel défis nous devons répondre avec sollicitude et promptitude’’, s’est exprimé Sylvère Gohoré Vakoum, président de l’Association Nationale des Agrées de Change Manuel de Côte d’Ivoire (ANACMAC).
Sylvere Gohoré Vakoum a indiqué que depuis l’avènement de la Lutte contre le Blanchiment de Capitaux et le Financement du Terrorisme en 2004, l’ANACMAC a choisi d’en faire son affaire pour protéger le métier et ses membres. Ainsi son Président s’y est impliqué personnellement en prenant part à toutes les séances de formations (ateliers, tables rondes et séminaires) jusqu’à en devenir un expert formateur. S’il reconnaît que la fragilité du marché de Change manuel en Côte d’Ivoire, l’expose comme le ventre mou du monde financier en Côte d’Ivoire, le président de l’ANACMAC estime qu’il revient à son organisation de démontrer par une bonne organisation de son environnement et un professionnalisme exemplaire qu’elle a toute sa place dans la sphère économique non seulement de la Côte d’Ivoire mais de l’espace UEMOA.
Selon Sylvère Gohoré Vakoum, au cours des 19 dernières années, l’ANACMAC et les autorités de tutelle se sont attelées à organiser le secteur en le positionnant sur le marché des changes auparavant occupé par le secteur informel. ‘’Il a fallu se donner beaucoup de temps et d’énergie pour voir grandir cette activité au niveau de l’ouverture du marché à un grand nombre d’opérateurs économiques, L’approvisionnement en devises des bureaux de change, Le renforcement du partenariat Bureaux de Change/Banques, L’avènement de la politique de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.
Au chapitre des défis à relever, l’ANACMAC se fixe pour objectifs entre autres, de Redéfinir ses rapports de partenariat avec les banques, promouvoir la formation des bureaux de change à la LBC/FT de conformité au KYC/CDD - maîtriser totalement l marché des changes en Côte d’Ivoire - valoriser ses bordereaux de change aux Contrôles frontaliers – œuvrer à la sécurisation sociale des bureaux de change et des opérateurs de change manuel, etc.
L’activité officielle de Change Manuel en Côte d’Ivoire est très jeune au regard de la pratique de ce métier dans le monde financier mondial, car le premier bureau a reçu son agrément le 24 Février 1999.
Elisée B.
‘’Aujourd’hui la Lutte contre le Blanchiment de Capitaux et le Financement du Terrorisme nous met au défis d’une conformité aux normes internationales de la finance, auquel défis nous devons répondre avec sollicitude et promptitude’’, s’est exprimé Sylvère Gohoré Vakoum, président de l’Association Nationale des Agrées de Change Manuel de Côte d’Ivoire (ANACMAC).
Sylvere Gohoré Vakoum a indiqué que depuis l’avènement de la Lutte contre le Blanchiment de Capitaux et le Financement du Terrorisme en 2004, l’ANACMAC a choisi d’en faire son affaire pour protéger le métier et ses membres. Ainsi son Président s’y est impliqué personnellement en prenant part à toutes les séances de formations (ateliers, tables rondes et séminaires) jusqu’à en devenir un expert formateur. S’il reconnaît que la fragilité du marché de Change manuel en Côte d’Ivoire, l’expose comme le ventre mou du monde financier en Côte d’Ivoire, le président de l’ANACMAC estime qu’il revient à son organisation de démontrer par une bonne organisation de son environnement et un professionnalisme exemplaire qu’elle a toute sa place dans la sphère économique non seulement de la Côte d’Ivoire mais de l’espace UEMOA.
Selon Sylvère Gohoré Vakoum, au cours des 19 dernières années, l’ANACMAC et les autorités de tutelle se sont attelées à organiser le secteur en le positionnant sur le marché des changes auparavant occupé par le secteur informel. ‘’Il a fallu se donner beaucoup de temps et d’énergie pour voir grandir cette activité au niveau de l’ouverture du marché à un grand nombre d’opérateurs économiques, L’approvisionnement en devises des bureaux de change, Le renforcement du partenariat Bureaux de Change/Banques, L’avènement de la politique de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.
Au chapitre des défis à relever, l’ANACMAC se fixe pour objectifs entre autres, de Redéfinir ses rapports de partenariat avec les banques, promouvoir la formation des bureaux de change à la LBC/FT de conformité au KYC/CDD - maîtriser totalement l marché des changes en Côte d’Ivoire - valoriser ses bordereaux de change aux Contrôles frontaliers – œuvrer à la sécurisation sociale des bureaux de change et des opérateurs de change manuel, etc.
L’activité officielle de Change Manuel en Côte d’Ivoire est très jeune au regard de la pratique de ce métier dans le monde financier mondial, car le premier bureau a reçu son agrément le 24 Février 1999.
Elisée B.