Vavoua, Siabi née Odette Diro, cadre de Vavoua, veut aider les femmes de sa localité à sortir de la pauvreté, à travers une ONG dénommée Réseau des rurales agricultrices et commerçantes (RAFRAC), dont elle a fait le lancement samedi à la mairie de la ville.
Selon Mme Siabi, l'objectif de son ONG est d'organiser, d'encadrer et de rechercher des financements auprès de tous les organismes pour booster ou créer des projets générateurs de revenues adaptés à ces femmes rurales.
Elle a ajouté que l'idée de la naissance de cette ONG est venue d'un questionnement sur les conditions de vie de ces femmes après le constat de leur grande fragilité financière malgré leur bravoure.
« La meilleure manière d'aider ces femmes est de revenir auprès d'elles afin de partager ma riche expérience acquise dans les institutions financières internationales », a-t-elle affirmé. Cadre de la Banque africaine de développement (BAD) à la retraite , Mme Siabi dit être outillée pour accompagner celles qu'elle a appelées « la force tranquille, pilier de la famille africaine ».
Le sous-préfet de Vavoua représentant le préfet, parrain de cette cérémonie, a exhorté les cadres du département de Vavoua à soutenir Mme Siabi dans vision. Il a ajouté qu'elle aurait pu se reposer à Abidjan après sa retraite, mais, explique-t-il, elle a décidé d'aider l'administration à faire en sorte que Vavoua soit vue sous l'angle d'un département « leader dans l'organisation des populations et surtout dans la production agricole » car « sans les femmes rurale, il y a fort peu de productions agricoles ».
La cérémonie a réunit la vingtaine d'associations de femmes de Vavoua, en présence du directeur départemental de l'agriculture et le directeur régional du commerce du Haut-Sassandra.
(AIP)
sk/aaa/tm
Selon Mme Siabi, l'objectif de son ONG est d'organiser, d'encadrer et de rechercher des financements auprès de tous les organismes pour booster ou créer des projets générateurs de revenues adaptés à ces femmes rurales.
Elle a ajouté que l'idée de la naissance de cette ONG est venue d'un questionnement sur les conditions de vie de ces femmes après le constat de leur grande fragilité financière malgré leur bravoure.
« La meilleure manière d'aider ces femmes est de revenir auprès d'elles afin de partager ma riche expérience acquise dans les institutions financières internationales », a-t-elle affirmé. Cadre de la Banque africaine de développement (BAD) à la retraite , Mme Siabi dit être outillée pour accompagner celles qu'elle a appelées « la force tranquille, pilier de la famille africaine ».
Le sous-préfet de Vavoua représentant le préfet, parrain de cette cérémonie, a exhorté les cadres du département de Vavoua à soutenir Mme Siabi dans vision. Il a ajouté qu'elle aurait pu se reposer à Abidjan après sa retraite, mais, explique-t-il, elle a décidé d'aider l'administration à faire en sorte que Vavoua soit vue sous l'angle d'un département « leader dans l'organisation des populations et surtout dans la production agricole » car « sans les femmes rurale, il y a fort peu de productions agricoles ».
La cérémonie a réunit la vingtaine d'associations de femmes de Vavoua, en présence du directeur départemental de l'agriculture et le directeur régional du commerce du Haut-Sassandra.
(AIP)
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