Bouna, La question de l'eau potable semble de plus en plus résolue dans le département de Bouna, a constaté l'AIP.
Dans la quasi majorité des villages du département de Bouna, la question de l'eau potable semble être réglée. Ces villages disposent d'au moins une pompe hydraulique à motricité humaine. Ce qui ne fut pas le cas il y a de cela 10 ans où ces populations s'orientaient vers les cours d'eaux et bas-fonds pour recueillir l'eau de ménage.
La nette amélioration de cette situation reste en partie due aux efforts consentis par le Conseil régional du Bounkani avec à sa tête Hien Philippe qui, au cours de ces dernières années, a prioriser l'accès à l'eau potable dans les zones rurales.
Ce sont près d'une centaine de pompes hydrauliques construites par cette structure de développement pour le grand bonheur des populations du département de Bouna.
A cela s'ajoute le projet financé par la Banque islamique de développement (BID) qui consiste à puiser les eaux du fleuve la Volta noire, les traiter et les acheminer sur une distance de 35 km via des canaux pour atteindre la ville de Bouna.
Au terme de ces travaux, la ville de Bouna et les villages situés dans un périmètre de 20 km autour de cette ville devront être suffisamment pourvus en eau potable. Voilà qui mettront définitivement fin aux calvaires des populations, ces différentes initiatives des autorités compétentes.
Toutefois, il se pose la question de la démographie galopante des populations de certaines localités rurales. Ces gros villages aux extrémités du département qui ont une seule pompe hydraulique en dépit de la forte densité de la population.
Ce qui contraint les populations à veiller de nuit auprès de l'unique pompe à s'y bagarrer ou au pire des cas, à se ruer vers les marigots des environs, avec tous les risques d'infection que cela comporte.
Ce sont là les véritables défis à relever au niveau des décideurs pour une amélioration qualitative de l'accès à l'eau potable dans ces zones. Car les pompes hydrauliques à motricité humaine tombant très souvent en panne, les constructions de châteaux d'eau devront désormais être les prochains challenges à envisager pour un mieux-être des populations.
(AIP)
on/fmo
Dans la quasi majorité des villages du département de Bouna, la question de l'eau potable semble être réglée. Ces villages disposent d'au moins une pompe hydraulique à motricité humaine. Ce qui ne fut pas le cas il y a de cela 10 ans où ces populations s'orientaient vers les cours d'eaux et bas-fonds pour recueillir l'eau de ménage.
La nette amélioration de cette situation reste en partie due aux efforts consentis par le Conseil régional du Bounkani avec à sa tête Hien Philippe qui, au cours de ces dernières années, a prioriser l'accès à l'eau potable dans les zones rurales.
Ce sont près d'une centaine de pompes hydrauliques construites par cette structure de développement pour le grand bonheur des populations du département de Bouna.
A cela s'ajoute le projet financé par la Banque islamique de développement (BID) qui consiste à puiser les eaux du fleuve la Volta noire, les traiter et les acheminer sur une distance de 35 km via des canaux pour atteindre la ville de Bouna.
Au terme de ces travaux, la ville de Bouna et les villages situés dans un périmètre de 20 km autour de cette ville devront être suffisamment pourvus en eau potable. Voilà qui mettront définitivement fin aux calvaires des populations, ces différentes initiatives des autorités compétentes.
Toutefois, il se pose la question de la démographie galopante des populations de certaines localités rurales. Ces gros villages aux extrémités du département qui ont une seule pompe hydraulique en dépit de la forte densité de la population.
Ce qui contraint les populations à veiller de nuit auprès de l'unique pompe à s'y bagarrer ou au pire des cas, à se ruer vers les marigots des environs, avec tous les risques d'infection que cela comporte.
Ce sont là les véritables défis à relever au niveau des décideurs pour une amélioration qualitative de l'accès à l'eau potable dans ces zones. Car les pompes hydrauliques à motricité humaine tombant très souvent en panne, les constructions de châteaux d'eau devront désormais être les prochains challenges à envisager pour un mieux-être des populations.
(AIP)
on/fmo