Abidjan, 11 juil (AIP) – La Commission nationale des droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI) appelle le gouvernement à prendre les dispositions nécessaires, en vue de consolider la cohésion sociale dans le pays, suite aux vagues de violences enregistrées dans plusieurs localités, mentionne une déclaration de l’institution en date du mardi, signée de la présidente Namizata Sangaré, parvenue à l’AIP mercredi.
La CNDHCI attire « l’attention du Gouvernement sur ces actes de violences et l’invite à prendre des dispositions nécessaires pour garantir le respect des droits à la sécurité, à la vie, à la paix de toutes les populations. Elle l’exhorte également à mener toutes les enquêtes en vue de situer les responsabilités et sanctionner les auteurs », indique la déclaration.
Cet appel découle des actes de violences ayant occasionné « des violations graves des droits de l’Homme » dans le pays « depuis quelques semaines », précisément à Bangolo (24 juin), Zénasso 1 et Kodiaga (région de la Bagoué, 24 juin), Korhogo (07 juillet) et Koun-Fao (09 juillet), rappelle le communiqué.
Ces incidents, qui ont provoqué des pertes en vie humaine et de nombreux blessés, ont porté respectivement sur des affrontements relatifs au « meurtre d’une dame Guéré », « contrôle de l’exploitation d’un bas-fond », à « une réunion politique » et « la gestion d’une forêt classée de Tankessé», restitue la note d’information.
« La CNDHCI adresse ses sincères condoléances aux familles des personnes décédées et exprime sa solidarité à toutes les personnes blessées », demeurant disposée « à contribuer à la recherche des solutions idoines pour une meilleure protection des droits de l’Homme » sur l’ensemble du territoire national, conclut la communication.
(AIP)
ra/tm
La CNDHCI attire « l’attention du Gouvernement sur ces actes de violences et l’invite à prendre des dispositions nécessaires pour garantir le respect des droits à la sécurité, à la vie, à la paix de toutes les populations. Elle l’exhorte également à mener toutes les enquêtes en vue de situer les responsabilités et sanctionner les auteurs », indique la déclaration.
Cet appel découle des actes de violences ayant occasionné « des violations graves des droits de l’Homme » dans le pays « depuis quelques semaines », précisément à Bangolo (24 juin), Zénasso 1 et Kodiaga (région de la Bagoué, 24 juin), Korhogo (07 juillet) et Koun-Fao (09 juillet), rappelle le communiqué.
Ces incidents, qui ont provoqué des pertes en vie humaine et de nombreux blessés, ont porté respectivement sur des affrontements relatifs au « meurtre d’une dame Guéré », « contrôle de l’exploitation d’un bas-fond », à « une réunion politique » et « la gestion d’une forêt classée de Tankessé», restitue la note d’information.
« La CNDHCI adresse ses sincères condoléances aux familles des personnes décédées et exprime sa solidarité à toutes les personnes blessées », demeurant disposée « à contribuer à la recherche des solutions idoines pour une meilleure protection des droits de l’Homme » sur l’ensemble du territoire national, conclut la communication.
(AIP)
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