Les impôts ont mobilisé au cours du premier semestre de l’année en cours, 1 106,1 milliards de FCFA sur un objectif global de 1 072,9milliards de FCFA, dégageant ainsi un écart positif de 33,2 milliards FCFA, a annoncé, jeudi à Abidjan, le Directeur général des impôts, Abou Sié Ouattara à l’ouverture d’un séminaire d’évaluation des résultats et des perspectives de cette administration fiscale.
« Il convient de noter que sur un objectif global de recettes de 1 072,9 milliards de FCFA au titre du premier semestre, les réalisations de la DGI (Direction générale des impôts) se chiffrent à 1 106,1 milliards de FCFA, dégageant ainsi un écart positif de 33,2 milliards FCFA, soit un taux de réalisation de 103,1% » s’est félicité M. Ouattara.
Poursuivant l’analyse de ces résultats, il a souligné que « les recettes du premier semestre de l’année 2018 marquent une progression globale de 4,1% par rapport à celles de la même période en 2017 en dépit de la non perception pour un montant évalué à 80 milliards de FCFA portant sur les droits d’enregistrement du cacao».
« Ces résultats qui à priori, peuvent être qualifiés globalement de satisfaisant, ne doivent pas pour autant nous conforter dans l’euphorie de l’autosatisfaction, car l’analyse fine de cette réalisation relève que cet écart positif est aussi la conséquence d’un recouvrement anticipé sur les recettes attendues en matière de revenus du pétrole au titre du dernier trimestre de l’année 2018 » a ajouté le Directeur général des impôts, s’adressant à ses collaborateurs qu’il a félicités.
Pour Abou Sié Ouattara, l’analyse des performances de la Direction générale des impôts devra toujours s’appuyer à la fois sur les niveaux de recouvrement par nature d’impôt et taxes, et sur la contribution effective des différentes structures de la DGI.
Les motifs de « satisfaction et les insuffisances » qui découlent de ces résultats doivent être relevés au cours de ce séminaire qui réunit la haute hiérarchie de la Direction générale des impôts.
Les projections des recettes pour le second semestre 2018, s’élèvent à 1 080,5 milliards de FCFA, et sont en hausse de 8,8% par rapport à 2017 conformément aux tendances économiques actuelles. Pour toute l’année 2018, les impôts doivent mobiliser plus de 2 153 milliards de FCFA.
LS/APA
« Il convient de noter que sur un objectif global de recettes de 1 072,9 milliards de FCFA au titre du premier semestre, les réalisations de la DGI (Direction générale des impôts) se chiffrent à 1 106,1 milliards de FCFA, dégageant ainsi un écart positif de 33,2 milliards FCFA, soit un taux de réalisation de 103,1% » s’est félicité M. Ouattara.
Poursuivant l’analyse de ces résultats, il a souligné que « les recettes du premier semestre de l’année 2018 marquent une progression globale de 4,1% par rapport à celles de la même période en 2017 en dépit de la non perception pour un montant évalué à 80 milliards de FCFA portant sur les droits d’enregistrement du cacao».
« Ces résultats qui à priori, peuvent être qualifiés globalement de satisfaisant, ne doivent pas pour autant nous conforter dans l’euphorie de l’autosatisfaction, car l’analyse fine de cette réalisation relève que cet écart positif est aussi la conséquence d’un recouvrement anticipé sur les recettes attendues en matière de revenus du pétrole au titre du dernier trimestre de l’année 2018 » a ajouté le Directeur général des impôts, s’adressant à ses collaborateurs qu’il a félicités.
Pour Abou Sié Ouattara, l’analyse des performances de la Direction générale des impôts devra toujours s’appuyer à la fois sur les niveaux de recouvrement par nature d’impôt et taxes, et sur la contribution effective des différentes structures de la DGI.
Les motifs de « satisfaction et les insuffisances » qui découlent de ces résultats doivent être relevés au cours de ce séminaire qui réunit la haute hiérarchie de la Direction générale des impôts.
Les projections des recettes pour le second semestre 2018, s’élèvent à 1 080,5 milliards de FCFA, et sont en hausse de 8,8% par rapport à 2017 conformément aux tendances économiques actuelles. Pour toute l’année 2018, les impôts doivent mobiliser plus de 2 153 milliards de FCFA.
LS/APA