La Côte d’Ivoire est « très vulnérable » au changement climatique, souligne un rapport de la Banque mondiale rendu public, jeudi, dans la capitale économique ivoirienne.
Selon le 7ème rapport de la Banque mondiale sur la situation économique du pays qui met un accent sur le changement climatique, la Côte d’Ivoire occupe le 147è rang sur les 169 pays « vulnérables » au changement climatique.
L’économiste en chef, Jacques Morisset, Coordinateur des programmes de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire a relevé que la « Côte d’Ivoire a perdu 60 % de son capital naturel entre 1990 et 2014».
A son sens, «l’inaction n’est pas acceptable» d’où son appel à redoubler les efforts sur l’usage des énergies renouvelables, l’adaptation de la filière cacao, la modernisation ainsi que l’adaptabilité du transport routier ».
Par ailleurs, M. Morisset a exhorté, à une grande politique en faveur de la relance des actions du secteur privé. « Il faut pouvoir relancer les activités du secteur privé .il faut accélérer les réformes », a-t-il insisté.
Le Directeur des Opérations de la Banque Mondiale en terre ivoirienne, Pierre Laporte a dans le même élan, invité à une « prise de conscience collective » face à cette situation désastreuse.
Le ministre ivoirien de l’économie et des finances, Adama Koné a reconnu que son pays, bien qu’il soit «en marche» doit «faire face aux défis comme le changement climatique». « Le défi climatique est une question de survie de notre pays. Il faut adresser avec efficacité (les points de) ce rapport », a promis Adama Koné.
SY/ls/APA
Selon le 7ème rapport de la Banque mondiale sur la situation économique du pays qui met un accent sur le changement climatique, la Côte d’Ivoire occupe le 147è rang sur les 169 pays « vulnérables » au changement climatique.
L’économiste en chef, Jacques Morisset, Coordinateur des programmes de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire a relevé que la « Côte d’Ivoire a perdu 60 % de son capital naturel entre 1990 et 2014».
A son sens, «l’inaction n’est pas acceptable» d’où son appel à redoubler les efforts sur l’usage des énergies renouvelables, l’adaptation de la filière cacao, la modernisation ainsi que l’adaptabilité du transport routier ».
Par ailleurs, M. Morisset a exhorté, à une grande politique en faveur de la relance des actions du secteur privé. « Il faut pouvoir relancer les activités du secteur privé .il faut accélérer les réformes », a-t-il insisté.
Le Directeur des Opérations de la Banque Mondiale en terre ivoirienne, Pierre Laporte a dans le même élan, invité à une « prise de conscience collective » face à cette situation désastreuse.
Le ministre ivoirien de l’économie et des finances, Adama Koné a reconnu que son pays, bien qu’il soit «en marche» doit «faire face aux défis comme le changement climatique». « Le défi climatique est une question de survie de notre pays. Il faut adresser avec efficacité (les points de) ce rapport », a promis Adama Koné.
SY/ls/APA