Ferkessédougou- La chenille qui se loge à l’intérieur des pousses de maïs dès les premières semaines ne doit pas être traitée aux pesticides au risque de la rendre agressive, a indiqué Issa Coulibaly, un cultivateur de maïs, mercredi lors d’un entretien avec l’AIP, au quartier Bromakoté de Ferkessédougou.
"Ce parasite qui loge à l’intérieur des pousses de maïs dès les premières semaines n’est pas du tout nocif et n’a aucune incidence sur leur croissance, et encore moins sur le rendement de la production", croit savoir M. Coulibaly qui préconise la méthode "bio", à savoir la culture sans pesticide.
"Les déchets que cette chenille laisse à l’intérieur des plantes de maïs n’embellissent pas les parcelles et donnent l’impression que les plantes sont malades. C’est un piège!", a prévenu le cultivateur, fort des expériences amères qu’il a vécues dans son champ il y a des années.
L’erreur, dit-il, c’est de les pulvériser. "Je l’ai fait, il y a des années. Les chenilles sont devenues agressives, mon champ de maïs en a souffert et j’ai perdu une bonne partie de ma production", assure le planteur.
Las de l’utilisation des pesticides, il dit avoir décidé, après une énième tentative aussi douloureuse que les précédentes, de ne plus s’occuper de ces parasites. "Et j’ai remarqué qu’après trois à quatre semaines, les chenilles disparaissent et comme par enchantement, les parcelles de maïs se développent très bien", a assuré M. Coulibaly qui n’ose plus traiter son maïs aux pesticides.
Le maïs dure trois mois tout comme le riz, a fait savoir le cultivateur des bas-fonds. Selon lui, la culture du maïs n’est pas saisonnière car il suffit de maîtriser l’eau pour cultiver cette plante toute l’année.
ti/cmas
"Ce parasite qui loge à l’intérieur des pousses de maïs dès les premières semaines n’est pas du tout nocif et n’a aucune incidence sur leur croissance, et encore moins sur le rendement de la production", croit savoir M. Coulibaly qui préconise la méthode "bio", à savoir la culture sans pesticide.
"Les déchets que cette chenille laisse à l’intérieur des plantes de maïs n’embellissent pas les parcelles et donnent l’impression que les plantes sont malades. C’est un piège!", a prévenu le cultivateur, fort des expériences amères qu’il a vécues dans son champ il y a des années.
L’erreur, dit-il, c’est de les pulvériser. "Je l’ai fait, il y a des années. Les chenilles sont devenues agressives, mon champ de maïs en a souffert et j’ai perdu une bonne partie de ma production", assure le planteur.
Las de l’utilisation des pesticides, il dit avoir décidé, après une énième tentative aussi douloureuse que les précédentes, de ne plus s’occuper de ces parasites. "Et j’ai remarqué qu’après trois à quatre semaines, les chenilles disparaissent et comme par enchantement, les parcelles de maïs se développent très bien", a assuré M. Coulibaly qui n’ose plus traiter son maïs aux pesticides.
Le maïs dure trois mois tout comme le riz, a fait savoir le cultivateur des bas-fonds. Selon lui, la culture du maïs n’est pas saisonnière car il suffit de maîtriser l’eau pour cultiver cette plante toute l’année.
ti/cmas