Soubré- Plus de 100 millions de FCFA qui ont été investis dans des projets sociaux par la Société coopérative des éco-agriculteurs modernes de Méagui (COOP-CA-ECAMOM), pour améliorer l’environnement de production du cacao, a relevé la 11ème assemblée générale de cette coopérative.
Ses responsables, notamment le président du conseil d’administration, Mamadou Goro et son comptable, Kouadio Hélène, ont expliqué jeudi que cet argent a servi à la construction de deux écoles primaires de trois classes avec bureau du directeur dans les sections Chantier Moh et à Kouassi Kouamékro; trois pompes hydrauliques villageoises dont l’une à Kouakou Emilekro et à Assemienkro, ainsi que la distribution d’intrants et la souscription à une assurance maladie pour les producteurs.
« Ces infrastructures sont des réponses adéquates et adaptées aux problèmes de scolarisation des enfants donc de leur retrait des plantations, car désormais ils n’ont plus besoin d’aller loin pour s’instruire, mais aussi une nette amélioration de leur condition de vie avec désormais de l’eau potable. Notre Société coopérative veut relever le défi de l’amélioration de l’environnement de la production du cacao avec des producteurs modernes et épanouis », ont-ils expliqué.
Ils ont en outre estimé que pour poursuivre ces actions, la Société doit étendre la certification à l’ensemble des producteurs et renforcer les capacités de l’ensemble des membres pour s’approprier les bonnes pratiques agricoles pour commercialiser du cacao de bonne qualité.
Le représentant du délégué régional du Conseil du café-cacao, Traoré Lamine et celui de l’ANADER, Modeste Kouakou, ont tour à tour salué les performances de cette Société coopérative qui, en plus de son professionnalisme dans la gestion, offre des infrastructures de base pour soulager ses membres.
Le préfet de Méagui, Attri Kouamé Jacques, s’est félicité des actions de portées sociales de COOP-CA-ECAMOM qui répond au vœu du Gouvernement quant à la scolarisation obligatoire. « Avec ces deux écoles, les parents n’ont plus d’arguments pour refuser de scolariser les enfants. Fini le travail des enfants dans les plantations et vive l’école pour tous et avec à la clé, de l’eau potable pour mettre fin aux calvaires des femmes », a-t-il déclaré.
km/gak/cmas
Ses responsables, notamment le président du conseil d’administration, Mamadou Goro et son comptable, Kouadio Hélène, ont expliqué jeudi que cet argent a servi à la construction de deux écoles primaires de trois classes avec bureau du directeur dans les sections Chantier Moh et à Kouassi Kouamékro; trois pompes hydrauliques villageoises dont l’une à Kouakou Emilekro et à Assemienkro, ainsi que la distribution d’intrants et la souscription à une assurance maladie pour les producteurs.
« Ces infrastructures sont des réponses adéquates et adaptées aux problèmes de scolarisation des enfants donc de leur retrait des plantations, car désormais ils n’ont plus besoin d’aller loin pour s’instruire, mais aussi une nette amélioration de leur condition de vie avec désormais de l’eau potable. Notre Société coopérative veut relever le défi de l’amélioration de l’environnement de la production du cacao avec des producteurs modernes et épanouis », ont-ils expliqué.
Ils ont en outre estimé que pour poursuivre ces actions, la Société doit étendre la certification à l’ensemble des producteurs et renforcer les capacités de l’ensemble des membres pour s’approprier les bonnes pratiques agricoles pour commercialiser du cacao de bonne qualité.
Le représentant du délégué régional du Conseil du café-cacao, Traoré Lamine et celui de l’ANADER, Modeste Kouakou, ont tour à tour salué les performances de cette Société coopérative qui, en plus de son professionnalisme dans la gestion, offre des infrastructures de base pour soulager ses membres.
Le préfet de Méagui, Attri Kouamé Jacques, s’est félicité des actions de portées sociales de COOP-CA-ECAMOM qui répond au vœu du Gouvernement quant à la scolarisation obligatoire. « Avec ces deux écoles, les parents n’ont plus d’arguments pour refuser de scolariser les enfants. Fini le travail des enfants dans les plantations et vive l’école pour tous et avec à la clé, de l’eau potable pour mettre fin aux calvaires des femmes », a-t-il déclaré.
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