Songon- Les auditrices de l'Institution de formation et d'éducation féminine (IFEF) d'Adiopodoumé sollicitent les autorités et des âmes généreuses pour la réhabilitation de l'unique bâtiment de leur établissement qui est dégradé depuis plus de deux ans.
Selon elles, si rien n'est fait dans l'urgence le seul bâtiment de l’IFEF composé d'un bureau, de trois salles de classes et une cuisine va bientôt s'écrouler à cause des fissures dans les murs.
Lors d'un entretien avec l'AIP, la directrice de l'IFEF d’Adiopodoumé, Tia Olga Dion, a pour sa part plaidé pour la réhabilitation du bâtiment.
"Depuis la création de l'IFEF jusqu’à ce jour, l'Institution n’a pas de clôture pour sécuriser ses activités, ses dossiers administratifs et ses auditrices sans oublier le personnel", a-t-elle dit, ajoutant que des jeunes drogués du village ont cassé toutes les ampoules d’éclairage installées dans la cour.
A côté des murs fissurés, l'IFEF ne dispose pas de clôture. Ce qui l'expose à plusieurs menaces notamment des cambriolages. En plus, l'espace de formation des jeunes filles devient souvent le lieu de rassemblement des jeunes délinquants après les cours.
"Nous souhaiterions que le Gouvernement et les personnes de bonne volonté nous aident à remettre en état les bâtiments et à construire une clôture pour sécuriser l’IFEF d'Adiopodoumé, a plaidé Mme Dion.
Bâtie sur une superficie de 1000 m², l’Institution de formation et d’éducation féminine d’Adiopodoumé a ouvert ses portes en septembre 2012 sur l’initiative d’une généreuse donatrice du nom de Thérèse Haury.
tg/cmas
Selon elles, si rien n'est fait dans l'urgence le seul bâtiment de l’IFEF composé d'un bureau, de trois salles de classes et une cuisine va bientôt s'écrouler à cause des fissures dans les murs.
Lors d'un entretien avec l'AIP, la directrice de l'IFEF d’Adiopodoumé, Tia Olga Dion, a pour sa part plaidé pour la réhabilitation du bâtiment.
"Depuis la création de l'IFEF jusqu’à ce jour, l'Institution n’a pas de clôture pour sécuriser ses activités, ses dossiers administratifs et ses auditrices sans oublier le personnel", a-t-elle dit, ajoutant que des jeunes drogués du village ont cassé toutes les ampoules d’éclairage installées dans la cour.
A côté des murs fissurés, l'IFEF ne dispose pas de clôture. Ce qui l'expose à plusieurs menaces notamment des cambriolages. En plus, l'espace de formation des jeunes filles devient souvent le lieu de rassemblement des jeunes délinquants après les cours.
"Nous souhaiterions que le Gouvernement et les personnes de bonne volonté nous aident à remettre en état les bâtiments et à construire une clôture pour sécuriser l’IFEF d'Adiopodoumé, a plaidé Mme Dion.
Bâtie sur une superficie de 1000 m², l’Institution de formation et d’éducation féminine d’Adiopodoumé a ouvert ses portes en septembre 2012 sur l’initiative d’une généreuse donatrice du nom de Thérèse Haury.
tg/cmas