Abidjan - L’Ambassadeur d’Israël en Côte d’Ivoire, SEM Eli Ben-Tura, a remis jeudi à SOS Village d’enfants d’Abobo, un important lot de matériel médical, pour permettre à la maternité de cette structure d’être fonctionnelle.
Ce matériel comprend entre autres, des lits d’accouchement, des berceaux, un pèse bébé électronique, une boîte d’accouchement, une lampe d’examen gynécologique, des escabeaux, une boîte de petite chirurgie et des masques aérosol.
Selon M. Ben-Tura, l’engagement de son pays auprès cet institut est conforme à leur religion et leur foi qui stipule que quiconque a sauvé une âme, a sauvé le monde entier.
Le village d’enfants SOS d’Abobo, le premier du genre ouvert en 1971, est composé de 14 maisons familiales abritant chacune sept à dix enfants orphelins ou abandonnés et une mère SOS sous la responsabilité du coordonnateur famille SOS. Le village abrite en son sein un jardin d’enfant, une école primaire et un centre médical qui est en passe de devenir une formation sanitaire à base communautaire.
En Côte d’Ivoire, il existe trois villages d’enfants SOS, Abobo, Aboisso et Yamoussoukro. De 1971 à 2015, 785 enfants pris en charge dans les villages sont devenus indépendants.
(AIP)
kam
Ce matériel comprend entre autres, des lits d’accouchement, des berceaux, un pèse bébé électronique, une boîte d’accouchement, une lampe d’examen gynécologique, des escabeaux, une boîte de petite chirurgie et des masques aérosol.
Selon M. Ben-Tura, l’engagement de son pays auprès cet institut est conforme à leur religion et leur foi qui stipule que quiconque a sauvé une âme, a sauvé le monde entier.
Le village d’enfants SOS d’Abobo, le premier du genre ouvert en 1971, est composé de 14 maisons familiales abritant chacune sept à dix enfants orphelins ou abandonnés et une mère SOS sous la responsabilité du coordonnateur famille SOS. Le village abrite en son sein un jardin d’enfant, une école primaire et un centre médical qui est en passe de devenir une formation sanitaire à base communautaire.
En Côte d’Ivoire, il existe trois villages d’enfants SOS, Abobo, Aboisso et Yamoussoukro. De 1971 à 2015, 785 enfants pris en charge dans les villages sont devenus indépendants.
(AIP)
kam