Le président du Mouvement « Sur les traces d’Houphouët-Boigny », Étienne Kouassi Kobena Adjoumani, ministre des Ressources animales et halieutiques a qualifié, lundi, les décisions d'exclusion du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) le frappant en compagnie de 17 membres de son mouvement de « ridicules, nulles et de nul effet ».
Selon le président de « Sur les traces d’Houphouët-Boigny », entouré de certains "exclus'' dont Louis Kouakou Ambonoua, Silué Kagnon, Madelaine Oulaï..., « les décisions de M. Guikahué sont ridicules et inopérantes. Elles sont nulles et de nul effet, mieux elles sont frappées d’inexistence juridique (…) ».
« M. Guikahué n’a rien dit, aucun militant n’a été radié du PDCI RDA, personne non plus ne s’est exclue du PDCI RDA (…) », a dit M. Adjoumani, expliquant que sur le fond, « des arguments fallacieux ont été soulevés pour justifier l’injustifiable à savoir qu’un militant ne peut appartenir à deux partis en même temps ».
Selon lui, le processus de mise en place du parti unifié n’étant pas achevé, « les seules cartes dont nous disposons sont les cartes du PDCI-RDA, notre parti », a insisté le président du mouvement « Sur les traces d’Houphouët-Boigny », déterminé à « aller sur le terrain convaincre les militants à adhérer au parti unifié ».
Pr Maurice Kakou Guikahué, avait annoncé dimanche l’exclusion de dix et huit cadres et militants du PDCI identifiés comme membres fondateurs du Parti unifié RHDP, (Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix, la coalition au pouvoir).
Selon M. Guikahué, ces militants ne peuvent pas être membres du PDCI et faire partie du Parti unifié RHDP, conformément à la loi N° 93-668 du 9 août 1993 relative aux partis et groupements politiques qui stipule que nul ne peut appartenir à deux partis à la fois. Ces personnes, dira-t-il, « ne peuvent ni parler ni agir au nom du PDCI ni arborer les insignes du PDCI ».
HS/ls/APA
Selon le président de « Sur les traces d’Houphouët-Boigny », entouré de certains "exclus'' dont Louis Kouakou Ambonoua, Silué Kagnon, Madelaine Oulaï..., « les décisions de M. Guikahué sont ridicules et inopérantes. Elles sont nulles et de nul effet, mieux elles sont frappées d’inexistence juridique (…) ».
« M. Guikahué n’a rien dit, aucun militant n’a été radié du PDCI RDA, personne non plus ne s’est exclue du PDCI RDA (…) », a dit M. Adjoumani, expliquant que sur le fond, « des arguments fallacieux ont été soulevés pour justifier l’injustifiable à savoir qu’un militant ne peut appartenir à deux partis en même temps ».
Selon lui, le processus de mise en place du parti unifié n’étant pas achevé, « les seules cartes dont nous disposons sont les cartes du PDCI-RDA, notre parti », a insisté le président du mouvement « Sur les traces d’Houphouët-Boigny », déterminé à « aller sur le terrain convaincre les militants à adhérer au parti unifié ».
Pr Maurice Kakou Guikahué, avait annoncé dimanche l’exclusion de dix et huit cadres et militants du PDCI identifiés comme membres fondateurs du Parti unifié RHDP, (Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix, la coalition au pouvoir).
Selon M. Guikahué, ces militants ne peuvent pas être membres du PDCI et faire partie du Parti unifié RHDP, conformément à la loi N° 93-668 du 9 août 1993 relative aux partis et groupements politiques qui stipule que nul ne peut appartenir à deux partis à la fois. Ces personnes, dira-t-il, « ne peuvent ni parler ni agir au nom du PDCI ni arborer les insignes du PDCI ».
HS/ls/APA