Nous avons été informés par voie de presse que la société JCDecaux SA a annoncé la signature, par JC Decaux Côte d’Ivoire, sa filiale conjointement détenue avec le groupe BOLLORE, un contrat de vingt (20) ans pour un programme de mobilier urbain à Cocody. Un contrat dont le contenu porte sur la conception, l’installation et la maintenance de quatre vingt-dix (90) mobiliers urbains publicitaires et de sanitaires publics à entretien automatique.
Les professionnels de la publicité extérieure, réunis au sein de la Chambre des Afficheurs de Côte d’Ivoire, tiennent à informer les autorités administratives et politiques, l’opinion publique ainsi que les opérateurs économiques que ce contrat est en porte-à-faux avec les réglementations en vigueur, à savoir le décret n°2007-676 du 28 décembre 2007 portant réglementation de l’affichage publicitaire, le communiqué d’interdiction de pose de panneaux publicitaires et les règles de passation du marché public.
En effet, depuis 2013, le secteur d’affichage connait un plan d’assainissement encadré par un comité interministériel (Ministère de la Communication, Ministère de l’Intérieur, District Autonome d’Abidjan). Pour mener à bien ce processus dans un esprit d’inclusion, l’Etat de Côte d’Ivoire a eu l’amabilité d’associer la Chambre des Afficheurs de Côte d’Ivoire (CAFCI) au comité technique afin de participer auprès du Conseil Supérieur de la Publicité (CSP), de la Direction Générale de la Décentralisation et du Développement Local (DGDDL) et des services techniques des collectivités territoriales à la mise en œuvre du plan d’assainissement.
Ce processus a permis le démantèlement de plus de 1500 panneaux irréguliers et la production d’un communiqué d’interdiction de pose de panneaux toujours en vigueur.
Cette situation douloureuse mais utile a été acceptée par l’ensemble des professionnels, qui, pour l’implantation ou la modernisation des dispositifs publicitaires, sont soumis à un suivi rigoureux du CSP conformément au décret.
La CAFCI s’est engagée à assister techniquement et matériellement le comité technique dans le but de lutter contre les poses anarchiques et irrégulières, en espérant la validation de notre projet de réorganisation et de modernisation par les autorités compétentes qui tarde.
Nous voudrions, à travers ce communiqué, attirer l’attention sur cette situation, afin de préserver l’équilibre de la profession par une compétition saine et équitable.
Fait à Abidjan, le 27 juillet 2018
Les professionnels de la publicité extérieure, réunis au sein de la Chambre des Afficheurs de Côte d’Ivoire, tiennent à informer les autorités administratives et politiques, l’opinion publique ainsi que les opérateurs économiques que ce contrat est en porte-à-faux avec les réglementations en vigueur, à savoir le décret n°2007-676 du 28 décembre 2007 portant réglementation de l’affichage publicitaire, le communiqué d’interdiction de pose de panneaux publicitaires et les règles de passation du marché public.
En effet, depuis 2013, le secteur d’affichage connait un plan d’assainissement encadré par un comité interministériel (Ministère de la Communication, Ministère de l’Intérieur, District Autonome d’Abidjan). Pour mener à bien ce processus dans un esprit d’inclusion, l’Etat de Côte d’Ivoire a eu l’amabilité d’associer la Chambre des Afficheurs de Côte d’Ivoire (CAFCI) au comité technique afin de participer auprès du Conseil Supérieur de la Publicité (CSP), de la Direction Générale de la Décentralisation et du Développement Local (DGDDL) et des services techniques des collectivités territoriales à la mise en œuvre du plan d’assainissement.
Ce processus a permis le démantèlement de plus de 1500 panneaux irréguliers et la production d’un communiqué d’interdiction de pose de panneaux toujours en vigueur.
Cette situation douloureuse mais utile a été acceptée par l’ensemble des professionnels, qui, pour l’implantation ou la modernisation des dispositifs publicitaires, sont soumis à un suivi rigoureux du CSP conformément au décret.
La CAFCI s’est engagée à assister techniquement et matériellement le comité technique dans le but de lutter contre les poses anarchiques et irrégulières, en espérant la validation de notre projet de réorganisation et de modernisation par les autorités compétentes qui tarde.
Nous voudrions, à travers ce communiqué, attirer l’attention sur cette situation, afin de préserver l’équilibre de la profession par une compétition saine et équitable.
Fait à Abidjan, le 27 juillet 2018