Yamoussoukro-Le cerveau d’un gang d'écumeurs de véhicules en stationnement et l’un de ses acolytes ont été mis aux arrêts, vendredi, et samedi, par des éléments de la police criminelle de Yamoussoukro, a appris l’AIP, mardi, de source policière.
Lors d’une patrouille, vendredi, les éléments du préfet de police de Yamoussoukro, Binaté Youssouf, surprennent en flagrant délit N’Guessan Yao Jean-Jores qui venait de descendre les vitres d’un véhicule de la CIE en stationnement devant un supermarché alors que le propriétaire effectuait à l’intérieur des achats à l’intérieur d’un des magasins.
Ces individus sévissent chaque jour, volent les sacs à main, les téléphones portables et autres effets personnels laissés dans les véhicules stationnés sur la voie publique et aux abords des magasins.
Selon le Commandant de la police criminel de Yamoussoukro, le commissaire Kouamé Gnézalé, les malfrats sont bien organisés et disposent de toutes sortes de clés de véhicules et cible les véhicules en stationnement à l’absence des propriétaires.
« Leur méthode consiste parfois à introduire des bouteilles d’eau en plastique dans la jante de la roue. L’explosion de la bouteille toute de suite après le démarrage oblige le propriétaire du véhicule à descendre pour vérification, c’est alors qu’ils (les voleurs) se saisissent des objets à travers les vitres très souvent baissées », a expliqué le commandant de la police criminelle de Yamoussoukro.
Mis aux arrêts, N’Guessan Yao Jean-Jores, 29 ans, se faisant passer pour un maçon va dénoncer deux de ses complices du jour à savoir les prénommés Franck et Yannick tous deux en fuite. Une perquisition dans la chambre d’hôtel du voleur, la police découvre un pistolet et plusieurs munitions.
Acculé, le malfrat n’hésite pas à dénoncer le chef du gang, le sieur Kamagaté Amadou alias KKD. Celui-ci sera à son tour interpellé le lendemain dans sa ville natale à Bouaké. Le « Boss » KKD ne fait aucune difficulté à reconnaître les faits. C’est sur ses ordres que « ses petits » quittent Bouaké et investissent le terrain. Les objets volet sont ensuite vendus à Abidjan.
La police criminelle de Yamoussoukro a décidé de durcir sa traque contre les malfrats et multiplie au quotidien ses interventions pour une meilleure sécurisation des personnes et de leurs biens.
nam/fmo
Lors d’une patrouille, vendredi, les éléments du préfet de police de Yamoussoukro, Binaté Youssouf, surprennent en flagrant délit N’Guessan Yao Jean-Jores qui venait de descendre les vitres d’un véhicule de la CIE en stationnement devant un supermarché alors que le propriétaire effectuait à l’intérieur des achats à l’intérieur d’un des magasins.
Ces individus sévissent chaque jour, volent les sacs à main, les téléphones portables et autres effets personnels laissés dans les véhicules stationnés sur la voie publique et aux abords des magasins.
Selon le Commandant de la police criminel de Yamoussoukro, le commissaire Kouamé Gnézalé, les malfrats sont bien organisés et disposent de toutes sortes de clés de véhicules et cible les véhicules en stationnement à l’absence des propriétaires.
« Leur méthode consiste parfois à introduire des bouteilles d’eau en plastique dans la jante de la roue. L’explosion de la bouteille toute de suite après le démarrage oblige le propriétaire du véhicule à descendre pour vérification, c’est alors qu’ils (les voleurs) se saisissent des objets à travers les vitres très souvent baissées », a expliqué le commandant de la police criminelle de Yamoussoukro.
Mis aux arrêts, N’Guessan Yao Jean-Jores, 29 ans, se faisant passer pour un maçon va dénoncer deux de ses complices du jour à savoir les prénommés Franck et Yannick tous deux en fuite. Une perquisition dans la chambre d’hôtel du voleur, la police découvre un pistolet et plusieurs munitions.
Acculé, le malfrat n’hésite pas à dénoncer le chef du gang, le sieur Kamagaté Amadou alias KKD. Celui-ci sera à son tour interpellé le lendemain dans sa ville natale à Bouaké. Le « Boss » KKD ne fait aucune difficulté à reconnaître les faits. C’est sur ses ordres que « ses petits » quittent Bouaké et investissent le terrain. Les objets volet sont ensuite vendus à Abidjan.
La police criminelle de Yamoussoukro a décidé de durcir sa traque contre les malfrats et multiplie au quotidien ses interventions pour une meilleure sécurisation des personnes et de leurs biens.
nam/fmo