Toumodi, L’ONG « vivre sans violence » a organisé une journée "portes ouvertes" au centre d’éducation, de formation et d’insertion des aveugles de Toumodi (CEFIAT) en vue d’améliorer les conditions de vie et de travail des élèves non-voyants.
Cette journée a été l’occasion pour les cadres de la localité de voir et de toucher de près les dures réalités de vie et de formation des 35 pensionnaires du CEFIAT.
La présidente de l’ONG" vivre sans violence", Nathalie Kouakou a demandé le soutien de tous pour améliorer les conditions de vie et de travail des élèves non-voyants
«L’objectif de notre ONG est de travailler sur les droits des personnes négligées. Nous voulons trouver une solution aux problèmes du CEFIAT à travers sa restructuration pour l’année scolaire prochaine. Dans ce cadre, nous nous battons pour la signature d’un protocole d’accord entre le CEFIAT et les différents ministères concernés», a-t-elle confié lors de cérémonie, samedi.
Le CEFIAT était censé éduquer, former et insérer les élèves non voyants, depuis sa création en 1999, mais s’est seulement limité à son rôle d’éducation.
Le directeur du centre, Noël Zan Bi Tra a saisi cette journée "portes ouvertes" pour présenter ses doléances. « Nous a avons besoin d’un ordinateur avec imprimante braille pour imprimer les évaluations de nos élèves. Nous avons besoin de lits matelas et draps. Enfin, la mairie nous offert un terrain de 1000m2 que nous voulons mettre en valeur », a-t-il énuméré.
Le représentant de Jeannot Kouadio Ahoussou parrain de la cérémonie, Simplice Konan s’est engagé à créer une chaîne de solidarité autour de ce centre pour améliorer les conditions de vie et de travail.
(AIP)
gbl/kkf/fmo
Cette journée a été l’occasion pour les cadres de la localité de voir et de toucher de près les dures réalités de vie et de formation des 35 pensionnaires du CEFIAT.
La présidente de l’ONG" vivre sans violence", Nathalie Kouakou a demandé le soutien de tous pour améliorer les conditions de vie et de travail des élèves non-voyants
«L’objectif de notre ONG est de travailler sur les droits des personnes négligées. Nous voulons trouver une solution aux problèmes du CEFIAT à travers sa restructuration pour l’année scolaire prochaine. Dans ce cadre, nous nous battons pour la signature d’un protocole d’accord entre le CEFIAT et les différents ministères concernés», a-t-elle confié lors de cérémonie, samedi.
Le CEFIAT était censé éduquer, former et insérer les élèves non voyants, depuis sa création en 1999, mais s’est seulement limité à son rôle d’éducation.
Le directeur du centre, Noël Zan Bi Tra a saisi cette journée "portes ouvertes" pour présenter ses doléances. « Nous a avons besoin d’un ordinateur avec imprimante braille pour imprimer les évaluations de nos élèves. Nous avons besoin de lits matelas et draps. Enfin, la mairie nous offert un terrain de 1000m2 que nous voulons mettre en valeur », a-t-il énuméré.
Le représentant de Jeannot Kouadio Ahoussou parrain de la cérémonie, Simplice Konan s’est engagé à créer une chaîne de solidarité autour de ce centre pour améliorer les conditions de vie et de travail.
(AIP)
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