Yamoussoukro- Une délégation de la Banque Mondiale, conduite par Kwawa Mensan Gaba, était jeudi, en mission de prospection à l’Institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro pour échanger sur les conditions de la relance de la formation des ingénieurs africains en électricité au niveau de la Côte d’Ivoire.
Dans le cadre général de développement, des capacités dans le secteur de l’énergie en Afrique, « j’ai contacté les différentes institutions qui travaillent sur la question, on m’a fait comprendre que l’INP-HB pouvait être une bonne candidate à cette activité de reprise. Je suis ici pour voir les réalités du terrain et comprendre ce que cette école peut offrir », a fait savoir le représentant de la Banque.
M. Kwawa Mensan a rappelé les problèmes récurrents de coupures d’électricité en Afrique. « C’est une situation qui ne peut pas continuer. Nous avons besoin des ingénieurs compétents et ouverts sur les nouvelles technologies », a-t-il fait savoir.
L’envoyé de la Banque Mondiale a fait également le constat que tous les projets d’intégration régionale ont un déficit de compétence dans le domaine de l’électricité. Il a recommandé la création d’infrastructures entretenues par des personnes qui seront dotées d’outils pour optimiser l’exploitation de l’électricité afin de résoudre le problème en Afrique.
« Notre pays a des potentialités de former des ingénieurs très compétents », a rassuré le directeur général de l’INP-HB, rappelant qu’après la fermeture de l’école supérieure inter-africaine en électricité de Bingerville, l’INP-HB avait à l’époque repris la dernière promotion.
M. Koffi N’Guessan encouragé l’initiative de la Banque Mondiale d'assurer la relève des ingénieurs africains en activité dans le domaine de l'électricité dont la majorité seront dans moins de 10 ans à la retraite.
nam/fmo
Dans le cadre général de développement, des capacités dans le secteur de l’énergie en Afrique, « j’ai contacté les différentes institutions qui travaillent sur la question, on m’a fait comprendre que l’INP-HB pouvait être une bonne candidate à cette activité de reprise. Je suis ici pour voir les réalités du terrain et comprendre ce que cette école peut offrir », a fait savoir le représentant de la Banque.
M. Kwawa Mensan a rappelé les problèmes récurrents de coupures d’électricité en Afrique. « C’est une situation qui ne peut pas continuer. Nous avons besoin des ingénieurs compétents et ouverts sur les nouvelles technologies », a-t-il fait savoir.
L’envoyé de la Banque Mondiale a fait également le constat que tous les projets d’intégration régionale ont un déficit de compétence dans le domaine de l’électricité. Il a recommandé la création d’infrastructures entretenues par des personnes qui seront dotées d’outils pour optimiser l’exploitation de l’électricité afin de résoudre le problème en Afrique.
« Notre pays a des potentialités de former des ingénieurs très compétents », a rassuré le directeur général de l’INP-HB, rappelant qu’après la fermeture de l’école supérieure inter-africaine en électricité de Bingerville, l’INP-HB avait à l’époque repris la dernière promotion.
M. Koffi N’Guessan encouragé l’initiative de la Banque Mondiale d'assurer la relève des ingénieurs africains en activité dans le domaine de l'électricité dont la majorité seront dans moins de 10 ans à la retraite.
nam/fmo