Niakara- Les acteurs de la filière agricole du département de Niakara (Centre-nord, région du Hambol) ont "jeté leur dévolu" dans les cultures vivrières à l'effet de pallier les effets des campagnes 2018 des cultures de rente jugées néfastes, a constaté l'AIP jeudi.
"Cette année, l'anacarde m'a complètement trahi donc pour ne pas mourir de faim et pour continuer à m'occuper de la famille, j'ai tout cultivé riz , maïs, sorgho , igname, patate et arachide. Cette année, c'est chaud !", a fait savoir Simplice Kitanhan Coulibaly, 45 ans, un paysan à Paramassorokaha, un village près de Tafiré.
Une initiative commune à de nombreux agriculteurs des villages et villes du département de Niakara, ceux-ci souhaitent sauver leur année agricole 2018 lors cette période de soudure.
Beaucoup ont affirmé, à l'instar de Thomas Koné Datolima, Chef de village de Paulkaha, avoir "jeté leur dévolu sur les cultures d'auto-consommation et de subsistance économique" face à la mévente de l'anacarde et de la mangue lors des campagnes de commercialisation 2018 écoulées.
jbm/fmo
"Cette année, l'anacarde m'a complètement trahi donc pour ne pas mourir de faim et pour continuer à m'occuper de la famille, j'ai tout cultivé riz , maïs, sorgho , igname, patate et arachide. Cette année, c'est chaud !", a fait savoir Simplice Kitanhan Coulibaly, 45 ans, un paysan à Paramassorokaha, un village près de Tafiré.
Une initiative commune à de nombreux agriculteurs des villages et villes du département de Niakara, ceux-ci souhaitent sauver leur année agricole 2018 lors cette période de soudure.
Beaucoup ont affirmé, à l'instar de Thomas Koné Datolima, Chef de village de Paulkaha, avoir "jeté leur dévolu sur les cultures d'auto-consommation et de subsistance économique" face à la mévente de l'anacarde et de la mangue lors des campagnes de commercialisation 2018 écoulées.
jbm/fmo