Le chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara est « le meilleur candidat » pour l’élection présidentielle de 2020, a dit dimanche Jérôme Koffi N’Guessan, un cadre du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci), dans une note transmise à APA.
« Alassane Ouattara est le meilleur candidat en 2020 » vu son « bilan positif » et son leadership en termes de gouvernance, a déclaré M. Jérôme Koffi Nguessan, pour qui « il faut qu’ il accepte d’être candidat quoi qu’il n’est pas demandeur ».
Selon M. Nguessan, l’actuel chef de l’Etat ivoirien peut briguer un troisième mandat car la nouvelle Constitution votée à l’issue d’un référendum en 2016 lui permet d’être candidat à l’élection présidentielle de 2020.
Sur l’échiquier international, M. Ouattara, soutiendra-t-il, fait partie « des présidents crédibles au monde et il est avantageux » pour la Côte d’Ivoire qu’ il soit reconduit aux affaires. En outre, il a un « carnet d’adresses impressionnant » et « il est bon qu’ il soit candidat en 2020 ».
Avec M. Ouattara, la Côte d’Ivoire a vu la construction du plus grand barrage hydroélectrique en Afrique de l’Ouest à Soubré et le plus grand centre de radiothérapie, a-t-il renchéri, ajoutant que des travaux d’envergure sont en cours de réalisation.
« Il est bon qu’ il débute un troisième mandat en 2020 et en 2023, il passe le pouvoir à Daniel Kablan Duncan (actuel vice-président de la République) et cadre du Pdci ; et cette stratégie nous permettra d’éviter d’enclencher une nouvelle crise en Côte d’Ivoire », a -t -il poursuivi.
M. Jérôme Nguessan a été exclu le 6 juillet des instances du Pdci pour « violation graves de la discipline ». Et ce, après avoir introduit un exploit d’assignation auprès du parti aux fins d’annulation de la décision du Bureau politique du 17 juin sur la question du Parti unifié Rhdp, regroupant les membres de la coalition au pouvoir.
Le Bureau politique du Pdci a décidé au cours de cette séance de se prononcer sur l’adhésion ou non au Parti unifié Rhdp (Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix), à son prochain congrès prévu après la présidentielle de 2020.
Pour M. Jérôme Nguessan, cette sanction de son parti à son encontre ayant pour motif la saisine du tribunal est « arbitraire », car « il y a eu du faux pour que des gens non-membres du Bureau politique participent à la séance » pour « tronquer l’avis officiel ».
Il a déploré que de hautes personnalités du Pdci aient été chahutées au nombre desquels le vice-président de la République, Kablan Duncan, et ceux sur qui repose le parti dans les différentes régions du pays, estimant que cela est « inacceptable ».
Réhabilité par la justice ivoirienne en sa qualité de membre du Bureau politique du Pdci, Jérôme Koffi Nguessan, envisage de poursuivre son action jusqu’au bout en vue de l’annulation de la décision du Bureau politique du parti qui estime avoir agi conformément à son statut.
Favorable au Parti unifié Rhdp, M. Nguessan estime qu’un troisième mandat de M. Ouattara, par ailleurs président de cette coalition au pouvoir, offrirait à la Côte d’Ivoire une stabilité et permettra au pays de prévenir les conflits.
AP/ls/APA
« Alassane Ouattara est le meilleur candidat en 2020 » vu son « bilan positif » et son leadership en termes de gouvernance, a déclaré M. Jérôme Koffi Nguessan, pour qui « il faut qu’ il accepte d’être candidat quoi qu’il n’est pas demandeur ».
Selon M. Nguessan, l’actuel chef de l’Etat ivoirien peut briguer un troisième mandat car la nouvelle Constitution votée à l’issue d’un référendum en 2016 lui permet d’être candidat à l’élection présidentielle de 2020.
Sur l’échiquier international, M. Ouattara, soutiendra-t-il, fait partie « des présidents crédibles au monde et il est avantageux » pour la Côte d’Ivoire qu’ il soit reconduit aux affaires. En outre, il a un « carnet d’adresses impressionnant » et « il est bon qu’ il soit candidat en 2020 ».
Avec M. Ouattara, la Côte d’Ivoire a vu la construction du plus grand barrage hydroélectrique en Afrique de l’Ouest à Soubré et le plus grand centre de radiothérapie, a-t-il renchéri, ajoutant que des travaux d’envergure sont en cours de réalisation.
« Il est bon qu’ il débute un troisième mandat en 2020 et en 2023, il passe le pouvoir à Daniel Kablan Duncan (actuel vice-président de la République) et cadre du Pdci ; et cette stratégie nous permettra d’éviter d’enclencher une nouvelle crise en Côte d’Ivoire », a -t -il poursuivi.
M. Jérôme Nguessan a été exclu le 6 juillet des instances du Pdci pour « violation graves de la discipline ». Et ce, après avoir introduit un exploit d’assignation auprès du parti aux fins d’annulation de la décision du Bureau politique du 17 juin sur la question du Parti unifié Rhdp, regroupant les membres de la coalition au pouvoir.
Le Bureau politique du Pdci a décidé au cours de cette séance de se prononcer sur l’adhésion ou non au Parti unifié Rhdp (Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix), à son prochain congrès prévu après la présidentielle de 2020.
Pour M. Jérôme Nguessan, cette sanction de son parti à son encontre ayant pour motif la saisine du tribunal est « arbitraire », car « il y a eu du faux pour que des gens non-membres du Bureau politique participent à la séance » pour « tronquer l’avis officiel ».
Il a déploré que de hautes personnalités du Pdci aient été chahutées au nombre desquels le vice-président de la République, Kablan Duncan, et ceux sur qui repose le parti dans les différentes régions du pays, estimant que cela est « inacceptable ».
Réhabilité par la justice ivoirienne en sa qualité de membre du Bureau politique du Pdci, Jérôme Koffi Nguessan, envisage de poursuivre son action jusqu’au bout en vue de l’annulation de la décision du Bureau politique du parti qui estime avoir agi conformément à son statut.
Favorable au Parti unifié Rhdp, M. Nguessan estime qu’un troisième mandat de M. Ouattara, par ailleurs président de cette coalition au pouvoir, offrirait à la Côte d’Ivoire une stabilité et permettra au pays de prévenir les conflits.
AP/ls/APA