Ouangolodougou- Le préfet par intérim du département de Ouangolodougou, Yao Kouacou, a exhorté les producteurs de noix de cajou du département à vendre leurs productions dans le pays afin d’aider au développement de la localité.
Le préfet intervenait, mardi, à l’occasion de la célébration du 58e anniversaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire. Selon lui, contrairement à la production locale de coton qui connaît une hausse, la production de noix de cajou est en baisse d’année en année du fait de sa commercialisation illégale dans les pays voisins.
« La quantité de noix de cajou commercialisée dans le département s’amenuise d’année en année. Ainsi, de plus de 3000 tonnes en 2015, 1700 tonnes en 2016, 1300 tonnes en 2017, aujourd’hui on est descendu à une production de moins de 120 tonnes. Nous comprenons aisément qu’il y a problème », a fait remarquer le préfet.
Pour mettre un terme à cette situation, M. Yao, en plus des mesures prises par l’Etat, a exhorté les populations de Ouangolodougou à faire preuve de patriotisme en vendant leurs productions dans le pays. « C’est au moyen des taxes prélevées sur le produit que l’Etat initie ses projets de développement », a-t-il insisté
ck/tad
Le préfet intervenait, mardi, à l’occasion de la célébration du 58e anniversaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire. Selon lui, contrairement à la production locale de coton qui connaît une hausse, la production de noix de cajou est en baisse d’année en année du fait de sa commercialisation illégale dans les pays voisins.
« La quantité de noix de cajou commercialisée dans le département s’amenuise d’année en année. Ainsi, de plus de 3000 tonnes en 2015, 1700 tonnes en 2016, 1300 tonnes en 2017, aujourd’hui on est descendu à une production de moins de 120 tonnes. Nous comprenons aisément qu’il y a problème », a fait remarquer le préfet.
Pour mettre un terme à cette situation, M. Yao, en plus des mesures prises par l’Etat, a exhorté les populations de Ouangolodougou à faire preuve de patriotisme en vendant leurs productions dans le pays. « C’est au moyen des taxes prélevées sur le produit que l’Etat initie ses projets de développement », a-t-il insisté
ck/tad