Yamoussoukro - La participation des jeunes élèves et étudiants à la réalisation de la paix est cruciale, a déclaré, jeudi, lors d’un séminaire à Yamoussoukro, la directrice du département de la recherche de la paix de la Fondation Félix Houphouët-Boigny, Dr Doumbia Diénéba, estimant qu’ils sont « plus susceptibles de trouver des solutions ».
« Aujourd’hui plus qu’hier, les étudiants doivent pouvoir travailler dans la certitude, la complexité et l’innovation », a déclaré Dr Doumbia Diénéba, à l’ouverture du séminaire de renforcement de capacités des membres de Mister and Miss University section Côte d’Ivoire (MMU-CI) sur le thème, "engagement étudiant et promotion de la culture de la paix et de la non-violence en milieu scolaire".
Selon la directrice du département de la recherche de la paix de fondation FHB, les étudiants sont plus ouverts aux changements, courageux, motivés, engagés pour la réalisation d’un avenir meilleur pour eux-mêmes et pour les générations futures.
La spécialiste en culture de la paix et de la non-violence a indiqué que, pour avoir la paix, il faut s’éduquer à la paix. Grâce à l’éducation, les enfants et les jeunes peuvent jouer un rôle très important dans la création d’un monde pacifique plus sûr, a conseillé Dr Doumbia.
Elle a toutefois fait noter que la paix, « le résultat d’un projet et de choix », n’aboutira que s’il y a compréhension mutuelle et conception ouverte et active de la diversité, et un engagement de tous les instants.
En dépit des efforts de tous et des mesures prises par les autorités universitaires et le gouvernement, la violence dans les Universités revient de façon épisodique. Depuis de nombreuses années, ce fléau menace la sécurité des individus, des biens sur le campus et perturbe les années académiques.
Le séminaire de renforcement des capacités vise d’une part à former les étudiants du MMU-CI aux pratiques démocratiques, à la culture de la paix, à la gestion des conflits, à la réconciliation, à la promotion de l’inclusion sociale et d’autre part à susciter et soutenir leurs initiatives et engagements citoyens.
« En apportant notre appui, nous croyons sincèrement que la formation renforcera vos compétences et créera au sein de votre Université une masse critique d’expertises et d’expériences avérées dans le domaine du civisme, de la citoyenneté, de la culture de la paix et de la non-violence », a fait savoir l’experte tout en recommandant aux étudiants de prendre soin de la paix et de la cultiver.
(AIP)
nam/fmo
« Aujourd’hui plus qu’hier, les étudiants doivent pouvoir travailler dans la certitude, la complexité et l’innovation », a déclaré Dr Doumbia Diénéba, à l’ouverture du séminaire de renforcement de capacités des membres de Mister and Miss University section Côte d’Ivoire (MMU-CI) sur le thème, "engagement étudiant et promotion de la culture de la paix et de la non-violence en milieu scolaire".
Selon la directrice du département de la recherche de la paix de fondation FHB, les étudiants sont plus ouverts aux changements, courageux, motivés, engagés pour la réalisation d’un avenir meilleur pour eux-mêmes et pour les générations futures.
La spécialiste en culture de la paix et de la non-violence a indiqué que, pour avoir la paix, il faut s’éduquer à la paix. Grâce à l’éducation, les enfants et les jeunes peuvent jouer un rôle très important dans la création d’un monde pacifique plus sûr, a conseillé Dr Doumbia.
Elle a toutefois fait noter que la paix, « le résultat d’un projet et de choix », n’aboutira que s’il y a compréhension mutuelle et conception ouverte et active de la diversité, et un engagement de tous les instants.
En dépit des efforts de tous et des mesures prises par les autorités universitaires et le gouvernement, la violence dans les Universités revient de façon épisodique. Depuis de nombreuses années, ce fléau menace la sécurité des individus, des biens sur le campus et perturbe les années académiques.
Le séminaire de renforcement des capacités vise d’une part à former les étudiants du MMU-CI aux pratiques démocratiques, à la culture de la paix, à la gestion des conflits, à la réconciliation, à la promotion de l’inclusion sociale et d’autre part à susciter et soutenir leurs initiatives et engagements citoyens.
« En apportant notre appui, nous croyons sincèrement que la formation renforcera vos compétences et créera au sein de votre Université une masse critique d’expertises et d’expériences avérées dans le domaine du civisme, de la citoyenneté, de la culture de la paix et de la non-violence », a fait savoir l’experte tout en recommandant aux étudiants de prendre soin de la paix et de la cultiver.
(AIP)
nam/fmo