Daloa – Les enseignants du secteur privé de Daloa ont souhaité lundi, lors de la clôture du séminaire de formation du personnel et des enseignants du privé sur le fonctionnement du ministère de l’Education nationale, que leurs salaires soit relevés.
Selon le porte-parole des auditeurs, Karamoko Souleymane, depuis le mois d’avril, certains enseignants du secteur privé ne perçoivent pas de salaire.
« Pour avoir fait les mêmes études, les mêmes universités et nous avons obtenu les mêmes diplômes et pour les mêmes tâches accomplies, nous comprenons difficilement que le traitement salarial soit aussi différent entre nos collègues du public et nous », a lancé M. Karamoko.
Il a par ailleurs souhaité que la ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Kandia Camara, rencontre leur ministre de tutelle, afin que la nouvelle convention soit appliquée dans les établissements privés.
En repose à ces préoccupations, le représentant de la ministre de l’Education nationale, Dongo Kouassi a indiqué que Kandia Camara est consciente des difficultés de traitement salarial et qu’elle a pris en 2016, la décision d’échanger avec le ministère de l’Emploi pour servir de facilitateur entre les syndicats et les promoteurs d’établissement privé, pour une revalorisation de salaire.
Il a aussi indiqué que le combat de la ministre est que la convention qui lie les employés aux employeurs soit révisée, tout en promettant de transmettre ses doléances à sa patronne.
Cette session de formation 2018 des enseignants du privé qui est à sa 8ème édition, a enregistré 3 965 dossiers déposés, soit 130 rejetés et 3 835 acceptés, repartis sur quatre sites de formation, Daloa, Bouaké, Yamoussoukro et Abidjan.
apk/cmas
Selon le porte-parole des auditeurs, Karamoko Souleymane, depuis le mois d’avril, certains enseignants du secteur privé ne perçoivent pas de salaire.
« Pour avoir fait les mêmes études, les mêmes universités et nous avons obtenu les mêmes diplômes et pour les mêmes tâches accomplies, nous comprenons difficilement que le traitement salarial soit aussi différent entre nos collègues du public et nous », a lancé M. Karamoko.
Il a par ailleurs souhaité que la ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Kandia Camara, rencontre leur ministre de tutelle, afin que la nouvelle convention soit appliquée dans les établissements privés.
En repose à ces préoccupations, le représentant de la ministre de l’Education nationale, Dongo Kouassi a indiqué que Kandia Camara est consciente des difficultés de traitement salarial et qu’elle a pris en 2016, la décision d’échanger avec le ministère de l’Emploi pour servir de facilitateur entre les syndicats et les promoteurs d’établissement privé, pour une revalorisation de salaire.
Il a aussi indiqué que le combat de la ministre est que la convention qui lie les employés aux employeurs soit révisée, tout en promettant de transmettre ses doléances à sa patronne.
Cette session de formation 2018 des enseignants du privé qui est à sa 8ème édition, a enregistré 3 965 dossiers déposés, soit 130 rejetés et 3 835 acceptés, repartis sur quatre sites de formation, Daloa, Bouaké, Yamoussoukro et Abidjan.
apk/cmas