Abidjan – Après avoir laissé planer le doute il y a environ huit mois au sujet des crypto-monnaies, l’Arabie saoudite vient de préciser dans un communiqué que le trading de bitcoin, ether et autres est illégal.
"Le comité réaffirme que les monnaies virtuelles, dont par exemple les bitcoins mais pas seulement, sont illégales au sein du royaume et qu’aucun partie ou individu n’est autorisé à exercer de telles pratiques", rapporte le site Sludgefeed cité le 14 août par www.businessinsider.fr.
"Le comité prévient tous les citoyens et les résidents de ne pas se laisser entraîner dans une telle illusion et une combine pour faire fortune en raison des risques de régulations, sécurité et de marchés que cela implique, sans oublier la signature de contrats fictifs et le transfert de fonds à des bénéficiaires/entités/parties inconnus", poursuit le communiqué.
L’Arabie saoudite n’est pas le seul Etat à avoir interdit les crypto-monnaies car des pays comme le Kirghizistan, le Bangladesh, le Népal et l’Equateur ont déjà pris des mesures similaires.
Selon le dictionnaire en ligne Wikipedia, le Bitcoin (de l’anglais bit : unité d’information binaire et coin « pièce de monnaie ») est une cryptomonnaie autrement appelée monnaie cryptographique. Dans le cas de la dénomination unitaire, on l’écrit « bitcoin » et, dans le cas du système de paiement pair-à-pair on l’écrit « Bitcoin ». L’idée fut présentée pour la première fois en novembre 2008 par une personne, ou un groupe de personnes, sous le pseudonyme de Satoshi Nakamoto. Le code source de l’implémentation de référence fut quant à lui publié en 2009.
Le G20 considère que le Bitcoin est un « crypto-actif » qui ne remplit pas le rôle d’une monnaie. Le terme « crypto-actif » fait alors référence à « des actifs virtuels stockés sur un support électronique permettant à une communauté d’utilisateurs les acceptant en paiement de réaliser des transactions sans avoir à recourir à la monnaie légale. » Un bitcoin = 3 689 623,02 Francs CFA.
(AIP)
cmas
"Le comité réaffirme que les monnaies virtuelles, dont par exemple les bitcoins mais pas seulement, sont illégales au sein du royaume et qu’aucun partie ou individu n’est autorisé à exercer de telles pratiques", rapporte le site Sludgefeed cité le 14 août par www.businessinsider.fr.
"Le comité prévient tous les citoyens et les résidents de ne pas se laisser entraîner dans une telle illusion et une combine pour faire fortune en raison des risques de régulations, sécurité et de marchés que cela implique, sans oublier la signature de contrats fictifs et le transfert de fonds à des bénéficiaires/entités/parties inconnus", poursuit le communiqué.
L’Arabie saoudite n’est pas le seul Etat à avoir interdit les crypto-monnaies car des pays comme le Kirghizistan, le Bangladesh, le Népal et l’Equateur ont déjà pris des mesures similaires.
Selon le dictionnaire en ligne Wikipedia, le Bitcoin (de l’anglais bit : unité d’information binaire et coin « pièce de monnaie ») est une cryptomonnaie autrement appelée monnaie cryptographique. Dans le cas de la dénomination unitaire, on l’écrit « bitcoin » et, dans le cas du système de paiement pair-à-pair on l’écrit « Bitcoin ». L’idée fut présentée pour la première fois en novembre 2008 par une personne, ou un groupe de personnes, sous le pseudonyme de Satoshi Nakamoto. Le code source de l’implémentation de référence fut quant à lui publié en 2009.
Le G20 considère que le Bitcoin est un « crypto-actif » qui ne remplit pas le rôle d’une monnaie. Le terme « crypto-actif » fait alors référence à « des actifs virtuels stockés sur un support électronique permettant à une communauté d’utilisateurs les acceptant en paiement de réaliser des transactions sans avoir à recourir à la monnaie légale. » Un bitcoin = 3 689 623,02 Francs CFA.
(AIP)
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