Abidjan – Le Front populaire ivoirien (FPI, opposition) « occupera sa place sur la scène politique » si l’ex-Première Dame Simone Gbagbo, sortie de prison le 7 août à la faveur d’une amnistie, reprend « la tête d’un FPI unifié », a confié jeudi le président de La Nouvelle Côte d’Ivoire, Gnamien Konan, dans un entretien avec Le Progrès.
M. le Président, l’ex-Première Dame est en liberté depuis plus d’une semaine. Quelle réaction vous inspire cet événement?
Quelle que soit la raison, qu’une soeur ou un frère retrouve la liberté, c’est une très bonne chose. En cela, je salue l’acte que le Président de la République a posé. Le commentaire qu’on peut faire c’est qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire. Il y a longtemps qu’on le souhaitait, on le demandait et, quelque fois même, on le réclamait.
Aujourd’hui, notre voeu le plus cher est que le Président de la République continue dans ce sens. C’est-à-dire que tous les prisonniers politiques ou militaires recouvrent la liberté. Puisqu’on a d’autres militaires qui sont partie prenante de la crise mais qui sont en liberté, qui vaquent librement à leurs occupations et qui connaissent, pour certains, une promotion sociale. Donc, pour moi, les militaires pro-Gbagbo, il faut les libérer.
M. le Président, l’ex-Première Dame est en liberté depuis plus d’une semaine. Quelle réaction vous inspire cet événement?
Quelle que soit la raison, qu’une soeur ou un frère retrouve la liberté, c’est une très bonne chose. En cela, je salue l’acte que le Président de la République a posé. Le commentaire qu’on peut faire c’est qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire. Il y a longtemps qu’on le souhaitait, on le demandait et, quelque fois même, on le réclamait.
Aujourd’hui, notre voeu le plus cher est que le Président de la République continue dans ce sens. C’est-à-dire que tous les prisonniers politiques ou militaires recouvrent la liberté. Puisqu’on a d’autres militaires qui sont partie prenante de la crise mais qui sont en liberté, qui vaquent librement à leurs occupations et qui connaissent, pour certains, une promotion sociale. Donc, pour moi, les militaires pro-Gbagbo, il faut les libérer.