Une habitation s'est effondrée au quartier Bromakoté de Ferkessédougou, causant trois blessés au sein d'une famille, mercredi, vers 4h du matin, à la suite d'une pluie qui s'est abattue sur la ville, a constaté l'AIP.
Les victimes de la catastrophe, issues de la famille Coulibaly qui logeait dans cette résidence, ont été évacuées d'urgence au Centre hospitalier régional (CHR) de Korhogo.
"Notre sœur aînée a été touchée à la tête. Nous avons aussi une fille de 13 ans qui ne peut pas marcher. Nous avons aussi une maison familiale à reconstruire. La maison s'est effondrée jusqu'au sous-bassement. Nous sommes sans moyens", s'est lamenté Coulibaly Kassoum, membre de la famille, évaluant les dégâts causés par la pluie.
Informé de la situation, le préfet de la région du Tchologo, préfet du département de Ferkessédougou, Kouamé Koffi a apporté son soutien à la famille sinistrée. La famille étant sans moyen, le préfet a apporté son aide pour l'évacuation des blessés.
"C'est le préfet qui a demandé que les trois blessés soient évacués d'urgence à Korhogo. Sinon, nous n'avons pas les moyens de payer des soins. Nous lançons un SOS aux autorités et services sociaux", a fait savoir M. Coulibaly Kassoum.
(AIP)
ti/fmo
Les victimes de la catastrophe, issues de la famille Coulibaly qui logeait dans cette résidence, ont été évacuées d'urgence au Centre hospitalier régional (CHR) de Korhogo.
"Notre sœur aînée a été touchée à la tête. Nous avons aussi une fille de 13 ans qui ne peut pas marcher. Nous avons aussi une maison familiale à reconstruire. La maison s'est effondrée jusqu'au sous-bassement. Nous sommes sans moyens", s'est lamenté Coulibaly Kassoum, membre de la famille, évaluant les dégâts causés par la pluie.
Informé de la situation, le préfet de la région du Tchologo, préfet du département de Ferkessédougou, Kouamé Koffi a apporté son soutien à la famille sinistrée. La famille étant sans moyen, le préfet a apporté son aide pour l'évacuation des blessés.
"C'est le préfet qui a demandé que les trois blessés soient évacués d'urgence à Korhogo. Sinon, nous n'avons pas les moyens de payer des soins. Nous lançons un SOS aux autorités et services sociaux", a fait savoir M. Coulibaly Kassoum.
(AIP)
ti/fmo