Niakara - La réhabilitation partielle de l'axe routier Katiola-Niakara-Tafiré-Ferkessédougou engendre une recrudescence de la vitesse chez des usagers, qui emmène des populations de Niakara (région du Hambol) à plaider pour un service radar sur cette voie internationale.
<< L'installation d'un service radar mobile et permanent sur la Nationale A3 permettra de limiter la vitesse observée chez les automobilistes>>, a soutenu Michel Gabégnan, un habitant de Kanawolo, à 15 kilomètres au nord de Niakara.
La disparition depuis juin des excavations et autres nids de poule sur la Nationale 3, due à l'achèvement de la première phase des travaux de sa rénovation, a fait resurgir << la conduite à tombeau ouvert >> sur cette voie d'accès aux pays de l'hinterland qui enregistre de plus en plus d'accidents grave, se plaignent des habitants des localités riveraines.
<< Les automobilistes se livrent à des conduites dangereuse, et chaque fois nous assistons à des sorties de route et à des accidents >>, fulmine Jean-Paul Koné Dibonan, un habitant de Kolokaha, village à 11 kilomètres au sud de Tafiré.
Une situation également deplorée par les habitants des localités en bordure de la voie Katiola-Niakara-Tafiré-Ferkessédougou, et même par des autorités de ces villes.
jbm/tm
<< L'installation d'un service radar mobile et permanent sur la Nationale A3 permettra de limiter la vitesse observée chez les automobilistes>>, a soutenu Michel Gabégnan, un habitant de Kanawolo, à 15 kilomètres au nord de Niakara.
La disparition depuis juin des excavations et autres nids de poule sur la Nationale 3, due à l'achèvement de la première phase des travaux de sa rénovation, a fait resurgir << la conduite à tombeau ouvert >> sur cette voie d'accès aux pays de l'hinterland qui enregistre de plus en plus d'accidents grave, se plaignent des habitants des localités riveraines.
<< Les automobilistes se livrent à des conduites dangereuse, et chaque fois nous assistons à des sorties de route et à des accidents >>, fulmine Jean-Paul Koné Dibonan, un habitant de Kolokaha, village à 11 kilomètres au sud de Tafiré.
Une situation également deplorée par les habitants des localités en bordure de la voie Katiola-Niakara-Tafiré-Ferkessédougou, et même par des autorités de ces villes.
jbm/tm