Grand-Bassam- 29 aout, Cet atelier est organisé pour harmoniser et standardiser les outils de collecte de données dans le cadre de l’appui à la Stratégie Nationale de lutte contre les VBG et renforcer l’implication des Forces de Sécurité intérieure de Côte d’Ivoire.
Dans le but de renforcer le cadre de protection des personnes contre les VBG, la Côte d’Ivoire s’est dotée d’une Stratégie Nationale de lutte contre les VBG en 2014. Cette stratégie a facilité la mise en place d’un Système de Gestion de l’Information sur les Violences Basées sur le Genre (GBV IMS). Ce système permet d’avoir des données harmonisées, éthiques, fiables, actualisées et sécurisées sur les VBG pour une meilleure prise en charge des cas. Seulement, à ce jour, seuls les formulaires d’admission pour les secteurs psychosociaux et médicaux sont disponibles. Dès lors, les Forces de Sécurité qui traitent tous les cas dans lesquels une procédure est menée ne participent pas à la collecte de données, ce qui ne permet pas d’avoir une vue d’ensemble des cas de VBG reçus.
Selon Mme Ouattara Abiba, Experte VBG à l’UNFPA, « l’un des gros défis aujourd’hui dans la réponse aux VBG est la prise en charge juridique et judiciaire des personnes survivantes de VBG ». L’organisation de cet atelier vient donc en soutien à la stratégie nationale de lutte contre les VBG à travers le renforcement des mécanismes de collecte de données dans le contrôle de l’outil GBV IMS, et surtout renforcer l’implication des Forces de Sécurité intérieure de Côte d’Ivoire.
« L’engagement et la synergie des actions de tous les acteurs impliqués dans cette lutte permettront d’atteindre de meilleurs résultats ». Le représentant du PNUD, M. Henry Mashaguiro, a relevé que l’engagement de son Organisation a contribué notamment à la prise en compte du Genre et à la compréhension des besoins différenciés des hommes et des femmes au sein des services de sécurité dans le cadre de la RSS avec la création des « Gender Desk » dans les Commissariats et/ou Arrondissements de Police, lesquels seront étendus aux Brigades de la Gendarmerie Nationale dans le cadre du projet.
« Le Gouvernement de Côte d’Ivoire se réjouit de l’appui des Partenaires au Développement et de la constante mobilisation de l’expertise nationale en matière de VBG », s’est exprimé M. Camara Lacina au nom du Ministère de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, assurant la présidence de la cérémonie d’ouverture de l’atelier.
Pour rappel, le projet dénommé « Projet d’Appui au Renforcement de la justice et des services de sécurité intérieure dans la Réponse aux VSBG en Côte d’Ivoire (PARR/VSBG) » est la contribution du PNUD et de ses partenaires notamment l’Ambassade des États-Unis en Côte d’Ivoire à la réponse au défi de la sécurité et de la cohésion sociale. Il a pour objectif de contribuer à la réponse nationale aux défis des Violences sexuelles basées sur le genre, plus particulièrement à l’ouest de la Côte d’Ivoire, où, en dépit des efforts consentis et des résultats notables, plusieurs défis subsistent.
De façon spécifique, le projet se propose de (i) Renforcer le professionnalisme des forces de sécurité intérieure dans la prise en charge des VSBG ; (ii) Renforcer l’efficacité de la justice en matière de prise en charge des cas de VSBG ; (iii) Renforcer la confiance des populations dans les instruments légaux mis en place pour leur protection ; (iv) Renforcer les capacités nationales et celles des services de sécurité en matière de coordination et de collecte d’information sur les VSBG.
L’atelier regroupe 25 experts pendant 03 jours issus des Ministères dédiés, de la Gendarmerie, de la Police Nationale, de la Société Civile, du PNUD et de l’UNFPA.
Dans le but de renforcer le cadre de protection des personnes contre les VBG, la Côte d’Ivoire s’est dotée d’une Stratégie Nationale de lutte contre les VBG en 2014. Cette stratégie a facilité la mise en place d’un Système de Gestion de l’Information sur les Violences Basées sur le Genre (GBV IMS). Ce système permet d’avoir des données harmonisées, éthiques, fiables, actualisées et sécurisées sur les VBG pour une meilleure prise en charge des cas. Seulement, à ce jour, seuls les formulaires d’admission pour les secteurs psychosociaux et médicaux sont disponibles. Dès lors, les Forces de Sécurité qui traitent tous les cas dans lesquels une procédure est menée ne participent pas à la collecte de données, ce qui ne permet pas d’avoir une vue d’ensemble des cas de VBG reçus.
Selon Mme Ouattara Abiba, Experte VBG à l’UNFPA, « l’un des gros défis aujourd’hui dans la réponse aux VBG est la prise en charge juridique et judiciaire des personnes survivantes de VBG ». L’organisation de cet atelier vient donc en soutien à la stratégie nationale de lutte contre les VBG à travers le renforcement des mécanismes de collecte de données dans le contrôle de l’outil GBV IMS, et surtout renforcer l’implication des Forces de Sécurité intérieure de Côte d’Ivoire.
« L’engagement et la synergie des actions de tous les acteurs impliqués dans cette lutte permettront d’atteindre de meilleurs résultats ». Le représentant du PNUD, M. Henry Mashaguiro, a relevé que l’engagement de son Organisation a contribué notamment à la prise en compte du Genre et à la compréhension des besoins différenciés des hommes et des femmes au sein des services de sécurité dans le cadre de la RSS avec la création des « Gender Desk » dans les Commissariats et/ou Arrondissements de Police, lesquels seront étendus aux Brigades de la Gendarmerie Nationale dans le cadre du projet.
« Le Gouvernement de Côte d’Ivoire se réjouit de l’appui des Partenaires au Développement et de la constante mobilisation de l’expertise nationale en matière de VBG », s’est exprimé M. Camara Lacina au nom du Ministère de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, assurant la présidence de la cérémonie d’ouverture de l’atelier.
Pour rappel, le projet dénommé « Projet d’Appui au Renforcement de la justice et des services de sécurité intérieure dans la Réponse aux VSBG en Côte d’Ivoire (PARR/VSBG) » est la contribution du PNUD et de ses partenaires notamment l’Ambassade des États-Unis en Côte d’Ivoire à la réponse au défi de la sécurité et de la cohésion sociale. Il a pour objectif de contribuer à la réponse nationale aux défis des Violences sexuelles basées sur le genre, plus particulièrement à l’ouest de la Côte d’Ivoire, où, en dépit des efforts consentis et des résultats notables, plusieurs défis subsistent.
De façon spécifique, le projet se propose de (i) Renforcer le professionnalisme des forces de sécurité intérieure dans la prise en charge des VSBG ; (ii) Renforcer l’efficacité de la justice en matière de prise en charge des cas de VSBG ; (iii) Renforcer la confiance des populations dans les instruments légaux mis en place pour leur protection ; (iv) Renforcer les capacités nationales et celles des services de sécurité en matière de coordination et de collecte d’information sur les VSBG.
L’atelier regroupe 25 experts pendant 03 jours issus des Ministères dédiés, de la Gendarmerie, de la Police Nationale, de la Société Civile, du PNUD et de l’UNFPA.