Après la fin opérationnelle du Programme Conjoint de Reduction de la Pauvreté à San Pedro-PCRP, SEM, Ricardo López-Aranda, Ambassadeur d’Espagne en Côte d’Ivoire et une délégation du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) conduite par Dr Joseph Ezoua, Chargé du programme Développement Durable et Inclusif, se sont rendus à San-Pedro le jeudi 20 février pour s’enquérir de l’état de pérennisation des acquis du PCRP.
Ce programme a bénéficié de l’appui financier du Royaume d’Espagne à travers les fonds de soutien aux ODD, SDG-Fund.
Cette mission avait pour objectif de constater les éventuels changements apportés par le programme dans le quotidien des populations cibles. En effet, lors de la clôture des activités programmatiques il y a trois ans, les parties prenantes s’étaient accordées sur la nécessité de mettre en place un Comité de suivi, suivant les recommandations de l’évaluation finale du programme.
Selon Dr Ezoua « Le Programme conjoint, après 3 ans de mise en œuvre, a clôturé ses activités et une évaluation finale a été réalisée en 2017. Il en est ressorti que plus de 60 000 personnes ont bénéficié directement des interventions (sensibilisations, formations, appuis techniques et financiers, assistance juridique et judiciaires...). »
Après la présentation du rapport du comité de gestion et de suivi, la mission s’est rendue sur le terrain auprès des bénéficiaires afin d’évaluer les acquis. Ainsi, ont été visité la clinique juridique, un jeune entrepreneur opérant dans le secteur de la cordonnerie et la ferme piscicole gérée par un groupement de femmes.
« Je suis satisfait de ce qui a été réalisé. Je note également une excellente appropriation des acquis par les bénéficiaires » a déclaré l’Ambassadeur tout en félicitant les Agences des Nations Unies et les parties prenantes à cette initiative.
Pour rappel, Le Programme a contribué à accroitre les capacités de production, de transformation et/ou de commercialisation des produits des groupements de femmes et des jeunes engagés dans des activités agricoles, dans l’artisanat et les services, avec l’accompagnement des structures nationales techniques et les agences UN (FAO et PNUD). Des jeunes entrepreneurs ont été accompagnés et de réelles opportunités d’emplois ont été créés grâce au partenariat établi avec la Chambre de commerce et d’industrie. L’accès des populations à des infrastructures socioéconomiques a été aussi amélioré. A titre d’exemple, on peut citer les 24 km de pistes rurales en cours de réhabilitation pour faciliter l’écoulement des produits, grâce au soutien du FER et du Conseil régional. Le PCRP favorise aussi l’offre de services d’assistance juridique à des démunis, par le biais de la clinique juridique et en partenariat avec l’Association des femmes juristes de Côte d’Ivoire et l’UNICEF.
Les résultats ont été assez satisfaisants et plusieurs partenariats stratégiques ont été établis.
La plupart de ces réalisations ont été rendus possible grâce au soutien financier du Royaume d’Espagne à travers le Fonds des Objectifs de Développement Durable.
Notons qu’en 2014, à la faveur de la mise en place du SDGund, et à la contribution financière du Royaume d’Espagne, la Côte d’Ivoire bénéficie d’un financement de 1.500.000 $US pour conduire de façon conjointe le Programme de réduction de la pauvreté de la Région de San Pedro. A ce financement s’ajoutent les fonds de contrepartie pour un montant de 1.810.000 $US
AN
Ce programme a bénéficié de l’appui financier du Royaume d’Espagne à travers les fonds de soutien aux ODD, SDG-Fund.
Cette mission avait pour objectif de constater les éventuels changements apportés par le programme dans le quotidien des populations cibles. En effet, lors de la clôture des activités programmatiques il y a trois ans, les parties prenantes s’étaient accordées sur la nécessité de mettre en place un Comité de suivi, suivant les recommandations de l’évaluation finale du programme.
Selon Dr Ezoua « Le Programme conjoint, après 3 ans de mise en œuvre, a clôturé ses activités et une évaluation finale a été réalisée en 2017. Il en est ressorti que plus de 60 000 personnes ont bénéficié directement des interventions (sensibilisations, formations, appuis techniques et financiers, assistance juridique et judiciaires...). »
Après la présentation du rapport du comité de gestion et de suivi, la mission s’est rendue sur le terrain auprès des bénéficiaires afin d’évaluer les acquis. Ainsi, ont été visité la clinique juridique, un jeune entrepreneur opérant dans le secteur de la cordonnerie et la ferme piscicole gérée par un groupement de femmes.
« Je suis satisfait de ce qui a été réalisé. Je note également une excellente appropriation des acquis par les bénéficiaires » a déclaré l’Ambassadeur tout en félicitant les Agences des Nations Unies et les parties prenantes à cette initiative.
Pour rappel, Le Programme a contribué à accroitre les capacités de production, de transformation et/ou de commercialisation des produits des groupements de femmes et des jeunes engagés dans des activités agricoles, dans l’artisanat et les services, avec l’accompagnement des structures nationales techniques et les agences UN (FAO et PNUD). Des jeunes entrepreneurs ont été accompagnés et de réelles opportunités d’emplois ont été créés grâce au partenariat établi avec la Chambre de commerce et d’industrie. L’accès des populations à des infrastructures socioéconomiques a été aussi amélioré. A titre d’exemple, on peut citer les 24 km de pistes rurales en cours de réhabilitation pour faciliter l’écoulement des produits, grâce au soutien du FER et du Conseil régional. Le PCRP favorise aussi l’offre de services d’assistance juridique à des démunis, par le biais de la clinique juridique et en partenariat avec l’Association des femmes juristes de Côte d’Ivoire et l’UNICEF.
Les résultats ont été assez satisfaisants et plusieurs partenariats stratégiques ont été établis.
La plupart de ces réalisations ont été rendus possible grâce au soutien financier du Royaume d’Espagne à travers le Fonds des Objectifs de Développement Durable.
Notons qu’en 2014, à la faveur de la mise en place du SDGund, et à la contribution financière du Royaume d’Espagne, la Côte d’Ivoire bénéficie d’un financement de 1.500.000 $US pour conduire de façon conjointe le Programme de réduction de la pauvreté de la Région de San Pedro. A ce financement s’ajoutent les fonds de contrepartie pour un montant de 1.810.000 $US
AN
