Abidjan - Le directeur de la production agricole de la Compagnie ivoirienne de développement du textile (CIDT), Kodjané N’Diamoi, a précisé que le zonage a permis la hausse de la production cotonnière, un an après sa mise en œuvre.
«Cette première année, on retient que des éléments positifs. La production du coton sur la saison 2016/2017 est passée de 328.145 tonnes à 413.205 tonnes sur la saison 2017/2018. Cette hausse est due à la mise en œuvre du zonage », a expliqué M.Kodjané jeudi dans un entretien à l’AIP en marge de l’assemblée générale de l’Intercoton.
Selon lui, toutes les difficultés qui existaient sur le terrain lors de la mise en œuvre du projet ont trouvé une solution.
«Il y a eu beaucoup de sincérité entre toutes les parties au niveau de la déclaration de la superficie des producteurs. Chacun a travaillé dans un rayon d’action spécifique. Le zoning a permis aux producteurs d’être beaucoup plus attentifs à la filière que lors de la période de la libéralisation. Le projet va continuer à améliorer les résultats », a rassuré le directeur de la production agricole de la CIDT.
Mis en œuvre en mars 2017, le zonage consiste en l’attribution de zones exclusives d’intervention à chaque société cotonnière sur la base d’une convention de concession.
Le cahier des charges précise les obligations de chacune des parties, en vue du développement de la culture du coton dans les zones respectives.
Conséquence immédiate de cette nouvelle donne : le retrait des sociétés cotonnières des zones non attribuées, puis leur redéploiement dans celles qui leur sont affectées.
Six sociétés cotonnières (CIDT, Ivoire Coton, COIC, Seco, Sicosa 2.0 et Global Coton) interviennent dans la filière coton.
La convention est conclue pour une période de sept ans renouvelable et fera l’objet d’évaluations périodiques. Cette mutation d’ordre structurel dans la politique de développement de la filière coton, répond au besoin d’assainir la filière qui, dans le contexte de la libéralisation, a connu de nombreux dysfonctionnements.
bsp/tm
«Cette première année, on retient que des éléments positifs. La production du coton sur la saison 2016/2017 est passée de 328.145 tonnes à 413.205 tonnes sur la saison 2017/2018. Cette hausse est due à la mise en œuvre du zonage », a expliqué M.Kodjané jeudi dans un entretien à l’AIP en marge de l’assemblée générale de l’Intercoton.
Selon lui, toutes les difficultés qui existaient sur le terrain lors de la mise en œuvre du projet ont trouvé une solution.
«Il y a eu beaucoup de sincérité entre toutes les parties au niveau de la déclaration de la superficie des producteurs. Chacun a travaillé dans un rayon d’action spécifique. Le zoning a permis aux producteurs d’être beaucoup plus attentifs à la filière que lors de la période de la libéralisation. Le projet va continuer à améliorer les résultats », a rassuré le directeur de la production agricole de la CIDT.
Mis en œuvre en mars 2017, le zonage consiste en l’attribution de zones exclusives d’intervention à chaque société cotonnière sur la base d’une convention de concession.
Le cahier des charges précise les obligations de chacune des parties, en vue du développement de la culture du coton dans les zones respectives.
Conséquence immédiate de cette nouvelle donne : le retrait des sociétés cotonnières des zones non attribuées, puis leur redéploiement dans celles qui leur sont affectées.
Six sociétés cotonnières (CIDT, Ivoire Coton, COIC, Seco, Sicosa 2.0 et Global Coton) interviennent dans la filière coton.
La convention est conclue pour une période de sept ans renouvelable et fera l’objet d’évaluations périodiques. Cette mutation d’ordre structurel dans la politique de développement de la filière coton, répond au besoin d’assainir la filière qui, dans le contexte de la libéralisation, a connu de nombreux dysfonctionnements.
bsp/tm