Abidjan- Le Forum sur la Coopération sino-africaine (FCSA), s’est ouvert ce lundi matin, à Pékin, en présence du président chinois et de la plupart des chefs d’Etat africains.
C’est le troisième forum du genre depuis 2000, mais la Chine a mis l’accent sur cette édition, alors que les intérêts économiques et diplomatiques chinois ne cessent de grandir en Afrique, où Pékin devient plus qu’un partenaire économique.
Avec pour thème : « communauté de destin et partenariat mutuellement avantageux », ce sommet qui prend fin mardi, rassemble 54 délégations venues du continent, en plus des dirigeants de l’ONU, de l’Union africaine, et de 26 organisations africaines et internationales. Il va surtout montrer la montée en puissance de la Chine, premier partenaire commercial de l’Afrique et l’un des investisseurs les plus dynamiques.
En effet, plus de 10 000 entreprises chinoises opèrent sur le continent d’après Pékin, et dans le secteur des infrastructures, la part des entreprises chinoises atteint les 50%. La puissance chinoise se diffuse dans tous les domaines, de la haute technologie à la manufacture de base.
L’issue de ce sommet sino-africain très important, veut rendre profitables aux deux parties, les nombreux partenariats qui existent déjà pour les acteurs économiques chinois et africains.
tls/kam
C’est le troisième forum du genre depuis 2000, mais la Chine a mis l’accent sur cette édition, alors que les intérêts économiques et diplomatiques chinois ne cessent de grandir en Afrique, où Pékin devient plus qu’un partenaire économique.
Avec pour thème : « communauté de destin et partenariat mutuellement avantageux », ce sommet qui prend fin mardi, rassemble 54 délégations venues du continent, en plus des dirigeants de l’ONU, de l’Union africaine, et de 26 organisations africaines et internationales. Il va surtout montrer la montée en puissance de la Chine, premier partenaire commercial de l’Afrique et l’un des investisseurs les plus dynamiques.
En effet, plus de 10 000 entreprises chinoises opèrent sur le continent d’après Pékin, et dans le secteur des infrastructures, la part des entreprises chinoises atteint les 50%. La puissance chinoise se diffuse dans tous les domaines, de la haute technologie à la manufacture de base.
L’issue de ce sommet sino-africain très important, veut rendre profitables aux deux parties, les nombreux partenariats qui existent déjà pour les acteurs économiques chinois et africains.
tls/kam