La Côte d’Ivoire et la Chine ont signé un accord portant sur le financement de la construction du Port sec de Ferkessédougou. « Le port sec de Ferkessédougou sera bientôt une réalité » selon le ministre Ally Coulibaly. L’accord de financement figure parmi les neuf qui ont été signés lors du forum ivoiro-chinois, qui s’est tenu le vendredi dernier, en présence du chef de l’Etat, Alassane Ouattara.
Le Projet porté par le ministre de l’Intégration Africaine et des Ivoirien de l’Extérieur Ally Coulibaly consiste à construire et exploiter les infrastructures du port sec de Ferkessédougou dans la région du Tchologo à 600 Km d’Abidjan afin de désengorger et rapprocher le port Autonome d’Abidjan de ses partenaires régionaux (Mali, Burkina Faso, Niger).Ces infrastructures comportent trois (3) composantes principales: une plateforme logistique (entrepôts, chaîne de froid etc.) ; un dépôt d’hydrocarbures ; un abattoir régional et un marché à bétail et une zone industrielle pour le développement des activités de transformation des produits agricoles et miniers.
D’un coût estimé à 302,9 milliards FCFA, le projet dont les études ont été réalisées et achevées depuis 2015 par le bureau national d’étude de technique et de développement (BNETD) va s’étendre sur plus de 3 185 hectares. Il fait partie des projets prioritaires pour l’émergence de la Côte d’Ivoire en 2020. Ce sont 100.000 emplois, selon les études menées par le BNETD que devrait générer le port sec une fois opérationnel.
Il faut savoir que le projet ambitionne surtout à contribuer durablement au développement des régions du nord du pays, redynamiser et consolider les acquis du transport ferroviaire à destination des pays de l’hinterland et mettre à disposition des opérateurs économiques les conditions optimales d’accueil, de services et d’utilisation de la plateforme multimodale.
Le Projet porté par le ministre de l’Intégration Africaine et des Ivoirien de l’Extérieur Ally Coulibaly consiste à construire et exploiter les infrastructures du port sec de Ferkessédougou dans la région du Tchologo à 600 Km d’Abidjan afin de désengorger et rapprocher le port Autonome d’Abidjan de ses partenaires régionaux (Mali, Burkina Faso, Niger).Ces infrastructures comportent trois (3) composantes principales: une plateforme logistique (entrepôts, chaîne de froid etc.) ; un dépôt d’hydrocarbures ; un abattoir régional et un marché à bétail et une zone industrielle pour le développement des activités de transformation des produits agricoles et miniers.
D’un coût estimé à 302,9 milliards FCFA, le projet dont les études ont été réalisées et achevées depuis 2015 par le bureau national d’étude de technique et de développement (BNETD) va s’étendre sur plus de 3 185 hectares. Il fait partie des projets prioritaires pour l’émergence de la Côte d’Ivoire en 2020. Ce sont 100.000 emplois, selon les études menées par le BNETD que devrait générer le port sec une fois opérationnel.
Il faut savoir que le projet ambitionne surtout à contribuer durablement au développement des régions du nord du pays, redynamiser et consolider les acquis du transport ferroviaire à destination des pays de l’hinterland et mettre à disposition des opérateurs économiques les conditions optimales d’accueil, de services et d’utilisation de la plateforme multimodale.