La Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) est à la fois un « succès politique, institutionnel et financier », s’est félicité, lundi à Abidjan, son Directeur général, Dr Kossi Edoh Amenounvé.
Il s’exprimait lors d’une visite dans les locaux de la BRVM d’une délégation de 19 étudiants de la célèbre école de commerce française, Essec Business School de Rabat (Maroc) en voyage d’étude en Côte d’Ivoire.
«La BRVM est à la fois un succès politique, institutionnel et financier parce que c’est la seule bourse au monde qui appartient à plusieurs pays (huit pays de l’Union économique et monétaire ouest-africaine, UEMOA)» a-t-il expliqué, soulignant que «ce marché (commun) est viable que les marchés nationaux».
« On peut ainsi donner raison à ceux qui ont eu l’idée d’aller vers un marché commun », a poursuivi le Directeur général de la BRVM, soulignant les performances de cette bourse ainsi que les défis qu’elle doit relever.
La Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) basée à Abidjan en Côte d’Ivoire, créée en 1996 est une bourse commune aux huit pays de l’UEMOA.
Elle a notamment pour missions, l’organisation du marché boursier, la cotation et la négociation des valeurs mobilières, la diffusion des informations boursières et la promotion et le développement du marché. A fin janvier 2018, la BRVM comptait 45 sociétés cotées exerçant dans divers domaines d’activités.
« Ce sont en moyenne deux sociétés qui arrivent à la cote chaque année », précise Dr Kossi Edoh Amenounvé selon qui les défis à relever sont notamment la faible liquidité du marché, le faible nombre de sociétés cotées, le difficile accès des Petites et moyennes entreprises (PME) au marché, le faible taux d’épargne et la diffusion de l’information financière.
« Aujourd’hui nous sommes en visite avec un groupe d’étudiants qui est parti avec un cursus de trois mois au sein de leur master en mangement sur le campus de Rabat où ils étudient les opportunités entrepreneuriales des enjeux économiques du continent africain », a expliqué de son côté le responsable pédagogique et entrepreneurial Essec Business School Rabat, Pierre Eloi Gay.
« Nous sommes ici en voyage d’étude avec ces 19 étudiants pour la plus part des Français », a-t-il poursuivi, soulignant que « la BRVM est une institution de premier plan en Afrique de l’Ouest qui est aussi au cœur de l’économie des grandes entreprises et du financement de l’économie par des investisseurs internationaux mais aussi locaux ».
« Je suis impressionné par le message très positif et pragmatique du directeur général de la BRVM qui a beaucoup parlé d’intégration économique », a conclu M. Gay.
LS/APA
Il s’exprimait lors d’une visite dans les locaux de la BRVM d’une délégation de 19 étudiants de la célèbre école de commerce française, Essec Business School de Rabat (Maroc) en voyage d’étude en Côte d’Ivoire.
«La BRVM est à la fois un succès politique, institutionnel et financier parce que c’est la seule bourse au monde qui appartient à plusieurs pays (huit pays de l’Union économique et monétaire ouest-africaine, UEMOA)» a-t-il expliqué, soulignant que «ce marché (commun) est viable que les marchés nationaux».
« On peut ainsi donner raison à ceux qui ont eu l’idée d’aller vers un marché commun », a poursuivi le Directeur général de la BRVM, soulignant les performances de cette bourse ainsi que les défis qu’elle doit relever.
La Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) basée à Abidjan en Côte d’Ivoire, créée en 1996 est une bourse commune aux huit pays de l’UEMOA.
Elle a notamment pour missions, l’organisation du marché boursier, la cotation et la négociation des valeurs mobilières, la diffusion des informations boursières et la promotion et le développement du marché. A fin janvier 2018, la BRVM comptait 45 sociétés cotées exerçant dans divers domaines d’activités.
« Ce sont en moyenne deux sociétés qui arrivent à la cote chaque année », précise Dr Kossi Edoh Amenounvé selon qui les défis à relever sont notamment la faible liquidité du marché, le faible nombre de sociétés cotées, le difficile accès des Petites et moyennes entreprises (PME) au marché, le faible taux d’épargne et la diffusion de l’information financière.
« Aujourd’hui nous sommes en visite avec un groupe d’étudiants qui est parti avec un cursus de trois mois au sein de leur master en mangement sur le campus de Rabat où ils étudient les opportunités entrepreneuriales des enjeux économiques du continent africain », a expliqué de son côté le responsable pédagogique et entrepreneurial Essec Business School Rabat, Pierre Eloi Gay.
« Nous sommes ici en voyage d’étude avec ces 19 étudiants pour la plus part des Français », a-t-il poursuivi, soulignant que « la BRVM est une institution de premier plan en Afrique de l’Ouest qui est aussi au cœur de l’économie des grandes entreprises et du financement de l’économie par des investisseurs internationaux mais aussi locaux ».
« Je suis impressionné par le message très positif et pragmatique du directeur général de la BRVM qui a beaucoup parlé d’intégration économique », a conclu M. Gay.
LS/APA