Des structures financières et des producteurs agricoles ont été formés au financement des chaines de valeur du secteur de l’agriculture, vendredi, au terme d’un symposium sur le manioc tenu dans la ville d’Aboisso.
Organisée par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), a formation s’est axée sur l’évaluation des marchés financiers agricoles.
Pour l’expert de la FAO, Masino Pera, l’augmentation de la production agricole mondiale des 20 dernières années a bénéficié d’un financement informel conduit par les grossistes, les entreprises de transformation, les commerçants, les associations de producteurs, entre autres.
Ce type de financement a des limites quant à sa portée, son inadéquation et son coût exorbitant souvent caché, a démontré l’expert de la FAO.
Les établissements bancaires ont donc été invités à se saisir des données que possède le financement informel afin de faire une bonne évaluation du marché agricole en expansion, après avoir défini des produits financiers agricoles adaptés aux besoins des producteurs.
L’exemple de réussite dans le financement agricole d’une banque en Tanzanie a été partagé au cours de la formation.
Ce samedi, d’autres modules aborderont les principes pour la formation des produits financiers agricoles et le développement d’une stratégie de gestion des risques financiers adaptés au portefeuille agricole.
Le problème majeur de l’agriculture en Côte d’Ivoire demeure son manque de financement, ont déploré plusieurs participants au symposium sur le manioc tenu du 6 au 7 septembre à Aboisso.
(AIP)
Akn/kp
Organisée par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), a formation s’est axée sur l’évaluation des marchés financiers agricoles.
Pour l’expert de la FAO, Masino Pera, l’augmentation de la production agricole mondiale des 20 dernières années a bénéficié d’un financement informel conduit par les grossistes, les entreprises de transformation, les commerçants, les associations de producteurs, entre autres.
Ce type de financement a des limites quant à sa portée, son inadéquation et son coût exorbitant souvent caché, a démontré l’expert de la FAO.
Les établissements bancaires ont donc été invités à se saisir des données que possède le financement informel afin de faire une bonne évaluation du marché agricole en expansion, après avoir défini des produits financiers agricoles adaptés aux besoins des producteurs.
L’exemple de réussite dans le financement agricole d’une banque en Tanzanie a été partagé au cours de la formation.
Ce samedi, d’autres modules aborderont les principes pour la formation des produits financiers agricoles et le développement d’une stratégie de gestion des risques financiers adaptés au portefeuille agricole.
Le problème majeur de l’agriculture en Côte d’Ivoire demeure son manque de financement, ont déploré plusieurs participants au symposium sur le manioc tenu du 6 au 7 septembre à Aboisso.
(AIP)
Akn/kp
