Mesdames, mesdemoiselles et messieurs, messieurs les guides religieux, messieurs les chefs traditionnels et rois, chers amis jeunes, chers parents, messieurs les représentants des différents partis politiques, mesdames et messieurs les représentants des différentes associations de la société civile, messieurs les représentants de la communauté internationale, messieurs les présidents des différentes délégations de M2020 venues de l’intérieur du pays, chers amis de la diaspora, messieurs les représentants des différents organes de presse, honorables invités, je voudrais sincèrement vous dire merci, merci d’avoir accepter d’honorer de votre présence cette conférence de presse du candidat indépendant, monsieur SERI IBRAHIM SAINT CLAIR à l’élection présidentielle de 2020. Axée sur l’importance de la réconciliation nationale.
Avant mon allocution, permettez-moi de saluer la grandeur d’esprit du chef de l’état, son excellence El Hadj ALASSANE OUATTARA.
Ce grand houphouëtiste qui a posé un pas géant en faveur de la réconciliation nationale, en amnistiant des milliers de familles, depuis le 06 août 2018, lors de son adresse à la nation, à l’occasion du 58ème anniversaire de notre pays.
Je ne saurais occulter la lumière de cette grande Dame, qui a toujours su éclairer le Président de la république, dans ses prises de décisions.
Comme le faisait Madame Thérèse Houphouët Boigny, aux côtés de notre grand père, Félix Houphouët Boigny, pour le bonheur de l’humanité.
Merci à vous Madame Dominique Ouattara.
Comme le dit l’adage, derrière un grand homme, se cache une grande Dame.
Pour une réconciliation sincère et durable, j’invite les ivoiriens à envisager honnêtement, la vérité historique d’une manière plus ouverte et plus libre, en brisant les limites de leur histoire.
C’est ce qui leur permettrait une capacité de repentance et de pardon.
Car accepter de rentrer dans l’histoire, ou dans son histoire, c’est accepter de reconnaître sa part de responsabilité, ou son devoir de responsabilité.
La connaissance de notre histoire est la base de notre propre culture et sa compréhension est la réalisation de nous mêmes.
Cette rétrospection historique peut être un facteur de compréhension des différents éléments écoulés, une trajectoire de démocratie, de cohésion sociale apaisée et inclusive, de cohabitation pacifique et de justice pour tous.
Pour une lisibilité constructive pour soi et pour l’humanité.
Il me semble que toute l’histoire du développement de la politique, représente l’histoire de la recherche de la vie humaine, qui donne la possibilité de ressentir de façon harmonieuse, le lien avec ses prochains et d’acquérir une élévation spirituelle dans sa propre vie.
C’est à la manière, dont une personne réagit en temps de crise, que l’on peut mesurer son sens des responsabilités.
Car la paix, avant d’être un comportement, est d’abord un choix. Si l’amour pour son peuple, n’a pas empêché la reine Abla Pokou, de donner en sacrifice son fils unique et comme le disait Félix Houphouët Boigny, « qu’il n’y a jamais un sacrifice de trop, lorsqu’il s’agit de l’intérêt supérieur de la nation », c’est pourquoi, j’en appelle à la sagesse patriotique du Président Bédié et de son épouse, de l’ex-président Laurent Gbagbo et de son épouse, de bien vouloir, accepter de soutenir la vision du président de la république, son excellence El hadj Alassane Ouattara, selon laquelle, l’heure du passage à témoin du flambeau politique à une nouvelle génération a sonné.
J’invite toutes les jeunesses des différents partis politiques, de la société civile et des différentes associations des femmes, à en faire autant.
Car cette nouvelle page et ce nouveau départ, dans la vie de notre nation, ne peuvent s’écrire véritablement, qu’avec une nouvelle génération qui inspire la confiance et la quiétude.
Une génération ayant la capacité de promouvoir l’intérêt supérieur de la nation, le sens de la responsabilité, du devoir et de la maturité politique d’hommes d’Etat, ceux-là mêmes qui discutent des idées, des générations présentes et avenir, pour la préservation et la consolidation des acquis de paix, de démocratie, de dialogue, de justice, de tolérance, de cohésion sociale apaisée et inclusive, d’hospitalité, facteur d’intégration des différentes ethnies et des différents peuples, selon lequel, la fraternité et l’identité font bon voisinage pacifique pour le progrès de l’humanité, depuis Félix Houphouët Boigny à nos jours.
Tandis que les politiciens ordinaires, eux discutent des hommes et parlent de la prochaine élection en disant ceci : peu importe la couleur du chat, pour vue qu’il attrape la souris.
Sommes-nous dans des républiques africaines pas possibles ? C’est vraiment de la vampirisation politique.
Je compte sur la sagesse spirituelle de nos guides religieux, de toutes confessions religieuses, de nos rois et chefs traditionnels, à mener des actions de sensibilisation en faveur de cette grande vision du chef de l’Etat.
La Côte d’Ivoire étant membre de la CEDEAO, de l’UA et des Nations Unies, je voudrais attirer l’attention de la communauté internationale, qui ne ménage aucun effort, dans les actions de recherches de la paix dans notre pays, sur l’importance capitale de cette vision humaniste et patriotique du Président de la république.
Car les années passent, l’histoire a une fin, la mémoire s’envole, l’attitude des uns et des autres doit changer positivement, pour mettre définitivement fin à cette triste page de notre histoire, pour le progrès de l’humanité.
Notre sens, pour l’intérêt national, nous permettra de nous réaliser, en faisant de notre pays un exemple d’Etat-nation, la lumière des nations et un exemple de cultures d’une nation-message.
Que Dieu le tout puissant bénisse la Côte d’Ivoire.
Avant mon allocution, permettez-moi de saluer la grandeur d’esprit du chef de l’état, son excellence El Hadj ALASSANE OUATTARA.
Ce grand houphouëtiste qui a posé un pas géant en faveur de la réconciliation nationale, en amnistiant des milliers de familles, depuis le 06 août 2018, lors de son adresse à la nation, à l’occasion du 58ème anniversaire de notre pays.
Je ne saurais occulter la lumière de cette grande Dame, qui a toujours su éclairer le Président de la république, dans ses prises de décisions.
Comme le faisait Madame Thérèse Houphouët Boigny, aux côtés de notre grand père, Félix Houphouët Boigny, pour le bonheur de l’humanité.
Merci à vous Madame Dominique Ouattara.
Comme le dit l’adage, derrière un grand homme, se cache une grande Dame.
Pour une réconciliation sincère et durable, j’invite les ivoiriens à envisager honnêtement, la vérité historique d’une manière plus ouverte et plus libre, en brisant les limites de leur histoire.
C’est ce qui leur permettrait une capacité de repentance et de pardon.
Car accepter de rentrer dans l’histoire, ou dans son histoire, c’est accepter de reconnaître sa part de responsabilité, ou son devoir de responsabilité.
La connaissance de notre histoire est la base de notre propre culture et sa compréhension est la réalisation de nous mêmes.
Cette rétrospection historique peut être un facteur de compréhension des différents éléments écoulés, une trajectoire de démocratie, de cohésion sociale apaisée et inclusive, de cohabitation pacifique et de justice pour tous.
Pour une lisibilité constructive pour soi et pour l’humanité.
Il me semble que toute l’histoire du développement de la politique, représente l’histoire de la recherche de la vie humaine, qui donne la possibilité de ressentir de façon harmonieuse, le lien avec ses prochains et d’acquérir une élévation spirituelle dans sa propre vie.
C’est à la manière, dont une personne réagit en temps de crise, que l’on peut mesurer son sens des responsabilités.
Car la paix, avant d’être un comportement, est d’abord un choix. Si l’amour pour son peuple, n’a pas empêché la reine Abla Pokou, de donner en sacrifice son fils unique et comme le disait Félix Houphouët Boigny, « qu’il n’y a jamais un sacrifice de trop, lorsqu’il s’agit de l’intérêt supérieur de la nation », c’est pourquoi, j’en appelle à la sagesse patriotique du Président Bédié et de son épouse, de l’ex-président Laurent Gbagbo et de son épouse, de bien vouloir, accepter de soutenir la vision du président de la république, son excellence El hadj Alassane Ouattara, selon laquelle, l’heure du passage à témoin du flambeau politique à une nouvelle génération a sonné.
J’invite toutes les jeunesses des différents partis politiques, de la société civile et des différentes associations des femmes, à en faire autant.
Car cette nouvelle page et ce nouveau départ, dans la vie de notre nation, ne peuvent s’écrire véritablement, qu’avec une nouvelle génération qui inspire la confiance et la quiétude.
Une génération ayant la capacité de promouvoir l’intérêt supérieur de la nation, le sens de la responsabilité, du devoir et de la maturité politique d’hommes d’Etat, ceux-là mêmes qui discutent des idées, des générations présentes et avenir, pour la préservation et la consolidation des acquis de paix, de démocratie, de dialogue, de justice, de tolérance, de cohésion sociale apaisée et inclusive, d’hospitalité, facteur d’intégration des différentes ethnies et des différents peuples, selon lequel, la fraternité et l’identité font bon voisinage pacifique pour le progrès de l’humanité, depuis Félix Houphouët Boigny à nos jours.
Tandis que les politiciens ordinaires, eux discutent des hommes et parlent de la prochaine élection en disant ceci : peu importe la couleur du chat, pour vue qu’il attrape la souris.
Sommes-nous dans des républiques africaines pas possibles ? C’est vraiment de la vampirisation politique.
Je compte sur la sagesse spirituelle de nos guides religieux, de toutes confessions religieuses, de nos rois et chefs traditionnels, à mener des actions de sensibilisation en faveur de cette grande vision du chef de l’Etat.
La Côte d’Ivoire étant membre de la CEDEAO, de l’UA et des Nations Unies, je voudrais attirer l’attention de la communauté internationale, qui ne ménage aucun effort, dans les actions de recherches de la paix dans notre pays, sur l’importance capitale de cette vision humaniste et patriotique du Président de la république.
Car les années passent, l’histoire a une fin, la mémoire s’envole, l’attitude des uns et des autres doit changer positivement, pour mettre définitivement fin à cette triste page de notre histoire, pour le progrès de l’humanité.
Notre sens, pour l’intérêt national, nous permettra de nous réaliser, en faisant de notre pays un exemple d’Etat-nation, la lumière des nations et un exemple de cultures d’une nation-message.
Que Dieu le tout puissant bénisse la Côte d’Ivoire.