Abidjan -Le directeur du Bureau conjoint des droits de l’homme de l’ONU en République démocratique du Congo (BCNUDH), Abdoul Aziz Thioye, dit avoir constaté un usage excessif de la force au cours des manifestations qui avait couté la vie à quatre personnes, rapporte la radio d’informations indépendante implantée en RDC, radio Okapi.
"Des membres de la plateforme 'Ensemble pour le changement' qui prenaient part à un meeting politique le 1er septembre ont été violemment dispersés et certains arrêtés", a rapporté la radio citant M. Thioye qui a ajouté qu’une autre manifestation des mouvements citoyens avait aussi été "dispersée de façon violente", alors que les manifestants voulaient remettre une pétition aux responsables provinciaux de la Commission électorale nationale indépendante (CENI).
Ces répressions violentes sont commises malgré les engagements pris par les autorités congolaises au Conseil des droits de l’homme, en mars, de lever l’interdiction de manifester dans le pays, a fait savoir le directeur du BCNUDH.
(AIP)
Sdaf/kp
"Des membres de la plateforme 'Ensemble pour le changement' qui prenaient part à un meeting politique le 1er septembre ont été violemment dispersés et certains arrêtés", a rapporté la radio citant M. Thioye qui a ajouté qu’une autre manifestation des mouvements citoyens avait aussi été "dispersée de façon violente", alors que les manifestants voulaient remettre une pétition aux responsables provinciaux de la Commission électorale nationale indépendante (CENI).
Ces répressions violentes sont commises malgré les engagements pris par les autorités congolaises au Conseil des droits de l’homme, en mars, de lever l’interdiction de manifester dans le pays, a fait savoir le directeur du BCNUDH.
(AIP)
Sdaf/kp