La rentrée scolaire 2018-2019 a démarré officiellement le lundi 10 septembre 2018 sur l’ensemble du territoire national. Nous avons sillonné à cet effet quelques établissements publics et privés pour prendre la température qui y prévaut.
Lundi matin, 7h 30mn, Gobelet-village, un sous-quartier de la commune de Cocody. Nous mettons pieds dans la cour de l’école primaire privée N’guessan Bi. Le personnel s’affaire. Les enfants arrivent aux compte-gouttes. Les parents aussi. « Je suis venu payer les frais d’inscription de mon enfant et prendre la liste des fournitures », dit, dame Kirakoya.
On comprend que la rentrée effective dans cet établissent ne sera pas effective pour cette journée du lundi 10 septembre. « Aujourd’hui est une journée de prise de contact avec les enfants, les préparer, vérifier, pour ceux qui ont déjà payé les fournitures, et exhorté les parents qui ne l’ont pas encore fait », dit à son tour, Israël N’guessan Bi, fondateur dudit établissement. Nous nous déportons un peu plus loin de ce quartier. Cette fois-ci, à l’EPP Attoban. Ici, un décor visiblement différent. Les ‘‘tout-petits’ ’sont déjà en classe. Dans cet établissement d’une dizaine de classes, réparties en deux écoles, EPP ‘‘A’’ et EPP ‘‘B’’, tout le monde est au poste, nous indique Mme Yao, Conseillère Pédagogique à l’Inspection d’enseignement Primaire (IEP) d’Attoban-Cocody. La classe de CP1 que nous décidons aussitôt de visiter, c’est l’habituel ‘‘ bonjour monsieur’’ et c’est Mme Kra Josseline, directrice de cette école qui nous reçoivent. « J’enseigne la classe de CP1.
Ici, les enfants, selon les préinscriptions qui ont été faites en tenant compte des directives du ministère, ils sont 40 au total. C’est vrai qu’aujourd’hui, ils n’atteignent pas ce chiffre-là, mais on peut comprendre parce que c’est le 1er jour. Il y’a toujours des retardateurs, mais nous, nous sommes là, au poste, en train de donner les cours, parce que ce sont les indications de la tutelle. L’école a bel et bien démarré chez nous. Je voudrais dire aux parents, que l’école a réellement commencé, il faut que les enfants viennent pour qu’on puisse respecter le volume horaire qui nous a été soumis », nous a dit, la directrice de l’EPP Attoban ‘‘A’’.
Notre périple de cette matinée scolaire va prendre fin au groupe Scolaire Jules Ferry dans la commune de Cocody. Dans cet établissement, notre interlocuteur se nomme Kouamé N’guessan, éducateur dudit établissement. « Les parents attendent parfois le jour ‘‘J’’ pour procéder à l’inscription des enfants. Ce matin, nous sommes en train, comme vous le voyez, de recevoir les parents pour les différentes formalités. La rentrée sera certainement effective chez nous à partir de la semaine prochaine », confie-il. N’empêche, la machine de l’année scolaire 2018-2019 est bel et bien en marche.
TAB avec IB
Lundi matin, 7h 30mn, Gobelet-village, un sous-quartier de la commune de Cocody. Nous mettons pieds dans la cour de l’école primaire privée N’guessan Bi. Le personnel s’affaire. Les enfants arrivent aux compte-gouttes. Les parents aussi. « Je suis venu payer les frais d’inscription de mon enfant et prendre la liste des fournitures », dit, dame Kirakoya.
On comprend que la rentrée effective dans cet établissent ne sera pas effective pour cette journée du lundi 10 septembre. « Aujourd’hui est une journée de prise de contact avec les enfants, les préparer, vérifier, pour ceux qui ont déjà payé les fournitures, et exhorté les parents qui ne l’ont pas encore fait », dit à son tour, Israël N’guessan Bi, fondateur dudit établissement. Nous nous déportons un peu plus loin de ce quartier. Cette fois-ci, à l’EPP Attoban. Ici, un décor visiblement différent. Les ‘‘tout-petits’ ’sont déjà en classe. Dans cet établissement d’une dizaine de classes, réparties en deux écoles, EPP ‘‘A’’ et EPP ‘‘B’’, tout le monde est au poste, nous indique Mme Yao, Conseillère Pédagogique à l’Inspection d’enseignement Primaire (IEP) d’Attoban-Cocody. La classe de CP1 que nous décidons aussitôt de visiter, c’est l’habituel ‘‘ bonjour monsieur’’ et c’est Mme Kra Josseline, directrice de cette école qui nous reçoivent. « J’enseigne la classe de CP1.
Ici, les enfants, selon les préinscriptions qui ont été faites en tenant compte des directives du ministère, ils sont 40 au total. C’est vrai qu’aujourd’hui, ils n’atteignent pas ce chiffre-là, mais on peut comprendre parce que c’est le 1er jour. Il y’a toujours des retardateurs, mais nous, nous sommes là, au poste, en train de donner les cours, parce que ce sont les indications de la tutelle. L’école a bel et bien démarré chez nous. Je voudrais dire aux parents, que l’école a réellement commencé, il faut que les enfants viennent pour qu’on puisse respecter le volume horaire qui nous a été soumis », nous a dit, la directrice de l’EPP Attoban ‘‘A’’.
Notre périple de cette matinée scolaire va prendre fin au groupe Scolaire Jules Ferry dans la commune de Cocody. Dans cet établissement, notre interlocuteur se nomme Kouamé N’guessan, éducateur dudit établissement. « Les parents attendent parfois le jour ‘‘J’’ pour procéder à l’inscription des enfants. Ce matin, nous sommes en train, comme vous le voyez, de recevoir les parents pour les différentes formalités. La rentrée sera certainement effective chez nous à partir de la semaine prochaine », confie-il. N’empêche, la machine de l’année scolaire 2018-2019 est bel et bien en marche.
TAB avec IB