Bouna - L'Agence ivoirienne de presse (AIP) constitue l'une des principales sources d'information des fonctionnaires dans le Bounkani, a-t-on constaté après une tournée dans diverses localités de la région.
'' Nous recevons les informations de l'AIP sur nos téléphones portables en temps réel et cela est un réel avantage pour nous", se réjouit l'instituteur Aka en service à Lankio à six kilomètres du Burkina Faso. A Niamoué dans le département de Doropo, le sous-préfet de la localité, Kouamé Foulé Maruis, dit être "un fidèle lecteur des dépêches produites au quotidien par cette agence".
"Dextérité et célérité"
Pour d'autres fonctionnaires, ce qui les intéresse, ce sont les informations de l'AIP portant sur leur régions d'origines. Il cliquent directement sur la rubrique ''infos des régions'' . ''Grace à cette rubrique, j'ai chaque jours l'actualité de ma région, et c'est comme si j'étais au village'', souligne le directeur régional de la Fonction publique du Bounkani, Djè Bi Mointi Bernard, qui salue au passage la direction de l'AIP pour cette initiative de rapprochement des populations.
Selon le sous-préfet de Youndouo à 90 km au sud de Bouna, Kakou Tanoé Armand Landry, qui se définit lui-même comme "fidèle lecteur de l'AIP", cette structure est véritablement au rendez-vous des défis du moment. '' Le choix des sujets, la dextérité de l'écriture et la célérité dans la diffusion de l'information sont des atouts qui caractérisent l'AIP d'où ma liaison avec elle'', a-t-il justifié.
"Le lien entre nous et le pays"
A vonkoro sur les rives de la Volta noire, ou encore à Tougbo à 200 km au nord-est de Bouna, et dans bien d'autres localités de la région du Bounkani, l'AIP est perçue et connue pour ses dépêches . '' Nous qui sommes des enseignants fonctionnaires en service dans les zones reculées et à la lisière des frontières avec les pays voisins, l'AIP reste le lien que nous avons avec notre pays, car nous sommes coupés de tout", pointe pour sa part Fofana Moussa en service vers la localité frontalière de Tantama, une zone difficile d'accés et dépourvu d'infrastructures de base.
Créée en 1961 par l'État de Côte d'Ivoire, l'Agence ivoirienne de presse dispose d'un réseau d'une centaine de correspondants couvrant tout le territoire national ivoirien.
(AIP)
on/tm
'' Nous recevons les informations de l'AIP sur nos téléphones portables en temps réel et cela est un réel avantage pour nous", se réjouit l'instituteur Aka en service à Lankio à six kilomètres du Burkina Faso. A Niamoué dans le département de Doropo, le sous-préfet de la localité, Kouamé Foulé Maruis, dit être "un fidèle lecteur des dépêches produites au quotidien par cette agence".
"Dextérité et célérité"
Pour d'autres fonctionnaires, ce qui les intéresse, ce sont les informations de l'AIP portant sur leur régions d'origines. Il cliquent directement sur la rubrique ''infos des régions'' . ''Grace à cette rubrique, j'ai chaque jours l'actualité de ma région, et c'est comme si j'étais au village'', souligne le directeur régional de la Fonction publique du Bounkani, Djè Bi Mointi Bernard, qui salue au passage la direction de l'AIP pour cette initiative de rapprochement des populations.
Selon le sous-préfet de Youndouo à 90 km au sud de Bouna, Kakou Tanoé Armand Landry, qui se définit lui-même comme "fidèle lecteur de l'AIP", cette structure est véritablement au rendez-vous des défis du moment. '' Le choix des sujets, la dextérité de l'écriture et la célérité dans la diffusion de l'information sont des atouts qui caractérisent l'AIP d'où ma liaison avec elle'', a-t-il justifié.
"Le lien entre nous et le pays"
A vonkoro sur les rives de la Volta noire, ou encore à Tougbo à 200 km au nord-est de Bouna, et dans bien d'autres localités de la région du Bounkani, l'AIP est perçue et connue pour ses dépêches . '' Nous qui sommes des enseignants fonctionnaires en service dans les zones reculées et à la lisière des frontières avec les pays voisins, l'AIP reste le lien que nous avons avec notre pays, car nous sommes coupés de tout", pointe pour sa part Fofana Moussa en service vers la localité frontalière de Tantama, une zone difficile d'accés et dépourvu d'infrastructures de base.
Créée en 1961 par l'État de Côte d'Ivoire, l'Agence ivoirienne de presse dispose d'un réseau d'une centaine de correspondants couvrant tout le territoire national ivoirien.
(AIP)
on/tm