L’ONG ‘’Sos-Forests’’, en partenariat avec le laboratoire de botanique, a organisé une campagne d’information, d’éducation et de sensibilisation sur les champignons comestibles peu connus de la région du Sud-ouest de la Côte d’Ivoire, en présence du préfet de région, Koné Messamba, les élus, des experts et des communautés villageoises.
Selon le directeur de l’Ong « Sos-Forests », Pr Gnankou Wadja Mathieu, se basant sur le constat qu’en côte d’ivoire la culture des champignons sauvages est très peu pratiquée et pas assez valorisée, a décidé d’organiser une campagne d’information, d’éducation et de sensibilisation sur les champignons sauvages comestibles de la région du Sud-ouest de la Côte d’Ivoire pour informer les autorités politiques et administratives, les populations locales et les leaders d’opinion de toutes les couches sociales sur la biodiversité, les services écosystémiques, la diversité des champignons sauvages comestibles et leur valeur monétaire dans le cadre d’une commercialisation.
A sa suite, différents partenaires scientifiques ou experts se sont succédé à la tribune pour entretenir les participants sur l’importance de la biodiversité, les enjeux de sa conservation, les menaces et les stratégies en cours pour éviter à notre planète la catastrophe. Ils ont, tour à tour, donné une panoplie d’information sur les variétés de champignons mais aussi au bien-être qu’ils apportent à l’homme, non sans oublier sa valeur marchande et ses vertus thérapeutiques.
Ensuite, les participants ont eu droit à des présentations sur la notion de biodiversité et services écosystème, la notion de développement durable et enfin la diversité des champignons sauvages comestibles du Sud-ouest de la Côte d’Ivoire et valeur monétaire.
Le préfet de région, Koné Messemba s’est félicité de la tenue de cet atelier qui va aider à mieux connaître les champignons, leur importance pour l’homme mais aussi et surtout ceux qui ne sont pas comestibles et « qu’au sortir de cet atelier les uns et les autres s’approprient les recommandations et faire bon usage des champignons sauvages », a-t-il terminé.
(AIP)
km/sdaf/fmo
Selon le directeur de l’Ong « Sos-Forests », Pr Gnankou Wadja Mathieu, se basant sur le constat qu’en côte d’ivoire la culture des champignons sauvages est très peu pratiquée et pas assez valorisée, a décidé d’organiser une campagne d’information, d’éducation et de sensibilisation sur les champignons sauvages comestibles de la région du Sud-ouest de la Côte d’Ivoire pour informer les autorités politiques et administratives, les populations locales et les leaders d’opinion de toutes les couches sociales sur la biodiversité, les services écosystémiques, la diversité des champignons sauvages comestibles et leur valeur monétaire dans le cadre d’une commercialisation.
A sa suite, différents partenaires scientifiques ou experts se sont succédé à la tribune pour entretenir les participants sur l’importance de la biodiversité, les enjeux de sa conservation, les menaces et les stratégies en cours pour éviter à notre planète la catastrophe. Ils ont, tour à tour, donné une panoplie d’information sur les variétés de champignons mais aussi au bien-être qu’ils apportent à l’homme, non sans oublier sa valeur marchande et ses vertus thérapeutiques.
Ensuite, les participants ont eu droit à des présentations sur la notion de biodiversité et services écosystème, la notion de développement durable et enfin la diversité des champignons sauvages comestibles du Sud-ouest de la Côte d’Ivoire et valeur monétaire.
Le préfet de région, Koné Messemba s’est félicité de la tenue de cet atelier qui va aider à mieux connaître les champignons, leur importance pour l’homme mais aussi et surtout ceux qui ne sont pas comestibles et « qu’au sortir de cet atelier les uns et les autres s’approprient les recommandations et faire bon usage des champignons sauvages », a-t-il terminé.
(AIP)
km/sdaf/fmo