La préfecture de Man a abrité lundi le lancement du projet de police de proximité dans les localités rurales à risque dans le Tonkpi, en vue de lutter contre les actes de vandalisme et de braquage sur les routes de la région.
Mis en œuvre par l’ONG IFS, avec la collaboration du Collectif de la société civile pour la sécurité et la paix du Tonkpi (COSCSPT) et le financement de l’ambassade des États-Unis en Côte d’Ivoire, ce projet a une durée de trois mois.
Déjà, ce programme a permis à 39 personnes dont des chefs traditionnels, des chefs religieux et des responsables d’organisations de jeunes et de femme de prendre part à une formation pour être des acteurs clés qui vont collaborer avec les forces de l’ordre dans la région.
"Cela ne peut être un succès que si les chefs de village et autres collaborent et coopèrent en donnant des informations justes aux gendarmes. Il ne faut pas donner des informations fausses pour compliquer le travail de la gendarmerie. Si vous ne coopérerez pas franchement, cela va être un échec", a expliqué le préfet de la région du Tonkpi et du département de Man, Bah Yao André, ajoutant que c’est dans l’intérêt des populations que la gendarmerie travaille et se déploie dans les villages pour les protéger.
(AIP)
Mis en œuvre par l’ONG IFS, avec la collaboration du Collectif de la société civile pour la sécurité et la paix du Tonkpi (COSCSPT) et le financement de l’ambassade des États-Unis en Côte d’Ivoire, ce projet a une durée de trois mois.
Déjà, ce programme a permis à 39 personnes dont des chefs traditionnels, des chefs religieux et des responsables d’organisations de jeunes et de femme de prendre part à une formation pour être des acteurs clés qui vont collaborer avec les forces de l’ordre dans la région.
"Cela ne peut être un succès que si les chefs de village et autres collaborent et coopèrent en donnant des informations justes aux gendarmes. Il ne faut pas donner des informations fausses pour compliquer le travail de la gendarmerie. Si vous ne coopérerez pas franchement, cela va être un échec", a expliqué le préfet de la région du Tonkpi et du département de Man, Bah Yao André, ajoutant que c’est dans l’intérêt des populations que la gendarmerie travaille et se déploie dans les villages pour les protéger.
(AIP)