Kani - Le chef de village de Massaso, Bakayoko Mamadou présenté vendredi, à Kani, les excuses aux responsables de la Société de développement des forêts (SODEFOR), suite à l'agression d'un de ses agents lors d'une précédente opération de déguerpissement.
Au nom de ses pairs des villages de Babasso, Frototou, toté et Bagabasso, il demandé à la SODEFOR d'abandonner une parcelle de cette forêt classée en vue de leur permettre de réaliser des cultures car "il n'y a plus de terre cultivables".
A cette doléances, le préfet de Kani a répondu que le rôle de l'État n'est pas d'affamer sa population, bien au contraire, l'État est préoccupé par le bien être de sa population. Pour cela, une solution peut être trouvée mais pour le moment, il fallait se conformer à la décision de la SODEFOR.
Concernant l'agression de l'agent forestier, il a souhaité qu'un tel acte ne se reproduise plus car passible de poursuites judiciaires.
Cette rencontre de la SODEFOR avec les populations de Kani avait pour but de sensibiliser les riverains de la forêt classée sur le prochain déguerpissement des clandestins de cette aire protégée.
ffc/fmo
Au nom de ses pairs des villages de Babasso, Frototou, toté et Bagabasso, il demandé à la SODEFOR d'abandonner une parcelle de cette forêt classée en vue de leur permettre de réaliser des cultures car "il n'y a plus de terre cultivables".
A cette doléances, le préfet de Kani a répondu que le rôle de l'État n'est pas d'affamer sa population, bien au contraire, l'État est préoccupé par le bien être de sa population. Pour cela, une solution peut être trouvée mais pour le moment, il fallait se conformer à la décision de la SODEFOR.
Concernant l'agression de l'agent forestier, il a souhaité qu'un tel acte ne se reproduise plus car passible de poursuites judiciaires.
Cette rencontre de la SODEFOR avec les populations de Kani avait pour but de sensibiliser les riverains de la forêt classée sur le prochain déguerpissement des clandestins de cette aire protégée.
ffc/fmo