Bouaké-Kouamé Fréjus, né en 1985 à Kokondékro (village communal), a été retrouvé mort pendu dans sa chambre par des proches, au quartier Nimbo de Bouaké, vendredi.
Selon Kouakou Armel, chauffeur de mototaxi, l’une des dernières personnes avoir communiqué avec la victime au téléphone, le corps était suspendu à une corde, près de la fenêtre, à la grande surprise de quelques habitants de la cour.
Aux environs de 10 H, un peu plus d’une heure après leurs échanges, il dit s’être rendu chez Kouamé Fréjus parce qu’il n’arrivait plus à le joindre pour certains détails concernant un versement qu’il devait effectuée à la LONACI, vendredi, à son compte. Kouakou Armel avait récupéré, tôt le matin, une somme de 344.400F avec Yao Rodrigue, assistant du gestionnaire d’un point de vente de tickets de la LONACI, Kouamé Fréjus (le défunt), du fait de ses ennuis de santé depuis quelques temps.
Dans une note qu’il aurait laissée sur le lieu du drame, le défunt, tout en demandant pardon aux personnes qu’il a offensées, il a souhaité que l’on prenne soin de sa fille et a dressé la liste de ses créanciers. Au nombre des créanciers, des clients de la loterie et un tapissier avec qui il a passé une commande de fauteuil.
La victime se faisait des soucis pour sa maladie qui lui faisait perdre l’appétit et du poids, ont rapporté des témoins dont son oncle maternel, Yao N’Dri Bruno, qui a du mal à s’expliquer ce suicide.
Nbf/kp
Selon Kouakou Armel, chauffeur de mototaxi, l’une des dernières personnes avoir communiqué avec la victime au téléphone, le corps était suspendu à une corde, près de la fenêtre, à la grande surprise de quelques habitants de la cour.
Aux environs de 10 H, un peu plus d’une heure après leurs échanges, il dit s’être rendu chez Kouamé Fréjus parce qu’il n’arrivait plus à le joindre pour certains détails concernant un versement qu’il devait effectuée à la LONACI, vendredi, à son compte. Kouakou Armel avait récupéré, tôt le matin, une somme de 344.400F avec Yao Rodrigue, assistant du gestionnaire d’un point de vente de tickets de la LONACI, Kouamé Fréjus (le défunt), du fait de ses ennuis de santé depuis quelques temps.
Dans une note qu’il aurait laissée sur le lieu du drame, le défunt, tout en demandant pardon aux personnes qu’il a offensées, il a souhaité que l’on prenne soin de sa fille et a dressé la liste de ses créanciers. Au nombre des créanciers, des clients de la loterie et un tapissier avec qui il a passé une commande de fauteuil.
La victime se faisait des soucis pour sa maladie qui lui faisait perdre l’appétit et du poids, ont rapporté des témoins dont son oncle maternel, Yao N’Dri Bruno, qui a du mal à s’expliquer ce suicide.
Nbf/kp