Bouaflé - Au total, 2017 personnes dont 1130 enfants sont affectées à Bouaflé, en cinq jours, par les inondations du fleuve Bandama suite à de fortes pluies, a confié à l’AIP la responsable du centre social, Sedé Kadhet Ange.
Enregistrés au centre social de Bouaflé, les sinistrés reçoivent des kits avant d’être conduits dans des familles ou sites d’accueil. Ces kits sont composés de riz, d’huile, de la tomate, de l’eau minérale, du savon, d’une natte et d’une moustiquaire imprégnée.
Des sinistrés rencontrés au centre social, visiblement affligés par cette situation, ont exprimé leur nouvelle vie. "J’habite le quartier Solibra. C’est depuis mercredi que mon épouse, mes enfants et moi sommes touchés par ces inondations. Nous sommes habitués à mener une vie tranquille chez nous et nous voilà dans cette situation. En tout je ne suis pas à l’aise. Mes deux enfants ne peuvent pas aller à l’école parce que leur établissement est inondé et ça, c’est vraiment insupportable pour moi", a indiqué une victime, Gnangui Marie Lucie.
Pour Legré Lou Diane, c’est vraiment la désolation. "J’espère que cette eau va vite baisser pour que nous puissions regagner chez nous au quartier Millionnaire. C’est mercredi que l’eau est rentrée dans la maison et on n’a pas pu sauver grande chose. C’est vraiment difficile", a-t-elle raconté.
On compte parmi les personnes affectées, 673 élèves dont certains ont arrêté les cours, tout comme des éleveurs et des agriculteurs qui ont perdu leurs biens.
(AIP)
ns/kp
Enregistrés au centre social de Bouaflé, les sinistrés reçoivent des kits avant d’être conduits dans des familles ou sites d’accueil. Ces kits sont composés de riz, d’huile, de la tomate, de l’eau minérale, du savon, d’une natte et d’une moustiquaire imprégnée.
Des sinistrés rencontrés au centre social, visiblement affligés par cette situation, ont exprimé leur nouvelle vie. "J’habite le quartier Solibra. C’est depuis mercredi que mon épouse, mes enfants et moi sommes touchés par ces inondations. Nous sommes habitués à mener une vie tranquille chez nous et nous voilà dans cette situation. En tout je ne suis pas à l’aise. Mes deux enfants ne peuvent pas aller à l’école parce que leur établissement est inondé et ça, c’est vraiment insupportable pour moi", a indiqué une victime, Gnangui Marie Lucie.
Pour Legré Lou Diane, c’est vraiment la désolation. "J’espère que cette eau va vite baisser pour que nous puissions regagner chez nous au quartier Millionnaire. C’est mercredi que l’eau est rentrée dans la maison et on n’a pas pu sauver grande chose. C’est vraiment difficile", a-t-elle raconté.
On compte parmi les personnes affectées, 673 élèves dont certains ont arrêté les cours, tout comme des éleveurs et des agriculteurs qui ont perdu leurs biens.
(AIP)
ns/kp
