Les 31.000 habitants de la sous-préfecture de Lataha et des villages de Séridjakaha et de Solonan, dans la région de Korhogo, vivent depuis plus de deux ans une nouvelle étape de leur processus de développement socio-économique. Et ce, grâce au château d’eau de Lataha livré en août 2016. Une nouvelle vie faite d’amélioration de leurs conditions de vie sociale.
Les populations, notamment les femmes, ont tourné le dos aux pompes villageoises pour certaines et à l’eau de marigot pour d’autres. Les maladies hydriques et autres risques liés à l’eau insalubre relèvent du souvenir.
Dans les zones desservies, on vit désormais dans un confort bien apprécié, ainsi que le dit Soro Sana, un habitant de la localité : « Cet investissement du gouvernement a mis fin à l’anxiété liée aux difficultés d’approvisionnement en eau ». Et d’ajouter : « Grâce au château d’eau, les femmes ne parcourent plus de longues distances, dans des conditions souvent pénibles, pour avoir de l’eau ».
Les populations ont attendu cette infrastructure depuis de longues années. On comprend donc qu’elles expriment leur reconnaissance au gouvernement pour avoir doté la zone d’un ouvrage aussi vital. « La corvée d’eau est un lointain souvenir. Par le passé, dès 3 heures du matin, les femmes parcouraient des kilomètres à la recherche d’eau. Une eau souvent impure et donc source de maladies », indique Yala Coulibaly Kpéa, habitante de Lataha.
D’un coût de 450 millions de FCFA, l’ouvrage est doté d’un réseau de distribution de 26 km, avec une capacité journalière de 50 m3.
Les populations, notamment les femmes, ont tourné le dos aux pompes villageoises pour certaines et à l’eau de marigot pour d’autres. Les maladies hydriques et autres risques liés à l’eau insalubre relèvent du souvenir.
Dans les zones desservies, on vit désormais dans un confort bien apprécié, ainsi que le dit Soro Sana, un habitant de la localité : « Cet investissement du gouvernement a mis fin à l’anxiété liée aux difficultés d’approvisionnement en eau ». Et d’ajouter : « Grâce au château d’eau, les femmes ne parcourent plus de longues distances, dans des conditions souvent pénibles, pour avoir de l’eau ».
Les populations ont attendu cette infrastructure depuis de longues années. On comprend donc qu’elles expriment leur reconnaissance au gouvernement pour avoir doté la zone d’un ouvrage aussi vital. « La corvée d’eau est un lointain souvenir. Par le passé, dès 3 heures du matin, les femmes parcouraient des kilomètres à la recherche d’eau. Une eau souvent impure et donc source de maladies », indique Yala Coulibaly Kpéa, habitante de Lataha.
D’un coût de 450 millions de FCFA, l’ouvrage est doté d’un réseau de distribution de 26 km, avec une capacité journalière de 50 m3.
